Nouvelle du Front

Wacht am Rhein : Ardennes 1945

QG de Manheim    
 

 

Il fait si froid en cette nuit du 15 au 16 décembre que les soldats qui viennent de libérer Bastogne il y a quelques semaines n'arrivent pas à dormir. Les provocations régulières de la propagande Allemande sur la ligne de front les occupaient déjà, mais cette fois-ci, le froid suffit. Chacun d'entre eux, aéroporté, cavalerie, artillerie, infranterie ont creusé leur trou de combat dans ce qui n'était pas encore tout à fait de la glace. Tous espèrent une autorisation spéciale pour passer Noël en permission. Certains ont sauté dans le Cotentin, d'autres en Hollande, et s'ils ont survécu, les deux. Les uns ont débarqué sur les plages, pendant que d'autres, habitués aux rudes combats sur le front Est, les ont défendues. Et le combat est arrivé dans les Ardennes, ce pays qu'avaient traversé les Panzer Armee triomphantes.

À l'Est, cet hiver pourrait être considéré comme habituel, voire même pas assez rude. Mais ici... Tapis dans leurs nouveaux uniformes camouflés, usés à l'âpreté du combat avec Ivan, confiants dans leur matériel, leur supériorité et leur discipline, conscients qu'il s'agit de la dernière ligne de défense du Reich, les hommes de la Wehrmacht nettoient leurs affûts.

De chaque coté, l'on ignore ce qui se prépare. L'opération a été soigneusement planifiée. Von Rundstet, le Maréchal qui connait bien le terrain, a pris toutes les précautions. ULTRA n'aura pas détecté suffisement d'informations pour signaler l'attaque surprise qui se lancera à l'aube, dans les brumes matinales, à l'ombre des cumulo-nimbus menaçants.

De chaque coté, les appareils des armes aériennes sont cloués au sol. Market Garden a permis à la Luftwaffe de se refaire une santé, elle qui avait été brisée par les raids aériens sur le Reich entre 1943 et 1944. Mais cette fois-ci, disent-il, ce ne sera pas pareil.

Les Français Libres qui se battent depuis peu sur le territoire National ont à coeur de montré les capacités de celle qui abbatit près de 1000 avions en un mois de Blitzkrieg. Ces 1000 que les Anglais doubleront en trois mois dans la Bataille d'Angleterre... La RAF et l'USAF n'ont quant à elles, plus rien à démontrer.

Désespérée, l'armée Allemande s'apprête à rendre son dernier souffle dans un sursaut d'orgueil.

(Teaser disponible ici)

 

Mission 1

Les combats ici font rage. La glace et la neige ont remplacé la boue et les couleurs flamboyantes de l’Automne.

Je me suis levé tôt ce matin en raison de la garde que je devais tenir. Il est 6h30 et voilà deux heures que je suis en patrouille. Nous faisions une halte sous des sapins pour nous alimenter, et nous avons vu passer des dizaines d'avions au couleurs flambloyantes au dessus de nos têtes... Nous n'avons pas deviné leur nationalité, mais mon Dieu, que le paysage qui s'offrait àeux depuis le ciel devait être beau. Ces gens là ignorent sans doute comment on crève dans les bois. Le vombrissement de leurs moteurs nous ont tous fait trembler. J'en garderai un souvenir impérissable de puissance et d'invincibilité.

L’état major allié semble avoir été surpris par l’encerclement réussi par les troupes de la Wehrmacht, supportées par une Luftwaffe qui aligne semble-t-il de nouveaux appareils en grand nombre. Le ravitaillement des troupes anglo-américaines s’organise petit à petit.

Cette nuit, enfin, tôt ce matin, il parait que les sirènes ont retentie dans des villes proches du front. À Papa (L13), la gare a été bombardée et est complètement détruite. Elle ne sera pas utilisable avant un certain temps. Quelques minutes plus tard, la gare de Nagykanizsa (I5) a elle aussi subit un bombardement, et les dégâts causés empêcheront la livraison de matériel depuis cette plateforme pour un long moment.

Avec les gars, on entend plein de chose de notre coté du front. Nous redoutons les blindés plus que tout. Un certain nombre d’entre eux ont été détruit durant les premières heures de la journée. Le moral est assez bas parmis les unités de reconnaissances Alliées, car trois de leurs véhicules ont été détruit par un Stug agile. Mais un autre Stug a été détruit et 3 Panther ont été mis hors de combat. Les servant de DCA sont aussi à la peine, car dans cette guerre sans pitié, les pilotes d’assaut les prennent souvent pour cible.

On dit qu’un pilote de Typhoon qui s’était posé sur une rivière gelée a réussi à échapper à la Wehrmacht et à rejoindre les lignes. Le bougre s’est posé exactement dans le no-man’s-land. Et qu’un autre à détruit deux chars à la roquette. Un héro Français aurait descendu 2 FW « long-nez » en une seule sortie, mais, s’oubliant à l’atterrissage, ce dernier a endommagé légèrement son P47. Les mécanos le canibaliseront car les réparations prendront trop de temps.

Les pertes aériennes ont été aussi nombreuses, et avec mes camarades, nous avons pu aperçevoir un certain nombre de carcasses, dont une mêlant des débris alliés et allemands…

Les combats semblent bien engagés pour réduire la poche. Les troupes progressent toutes avec difficultés. Les combats font rage à Tapolca (L9).

Mission 2

Encore une fois, les sirènes ont retentie dans plusieurs villes, et les gares de VasvarG11, Fonyod M7, Balatonkali N9, Orozlany R15, ont été détruites...
Les combats font toujours rage à Tapolca, bien que de moins en moins d'unités y soit présentes.
Il semble que les convois de ravitaillement se multiplient du coté des forces alliées. Les troupes sont au contact un peu partout sur la carte, ou proches de l'être. Les tacticiens du QG sont en difficulté, à en croire les commentaires du chef, Hauptmann Edwald :

Cette mission est officiellement complètement ratée.

Sans attendre les résultats approfondis, on peut penser que les Typhoons, et autre P38 s'en sont donné à cœur joie pendant que notre chasse étaient partie aux fraises.
Si on considère qu'en plus notre attaque au sol a été inexistante à cause de la collision de 50% de l'escorte, on ne peut se réjouir.

Autre point noir, et oui, on les accumule, veillez à signaler TOUT contact ou bandit.

J'estime qu'on va perdre entre 215£ et 250£ de matériel. Pour un budget total de 405£ c'est bien. Et si ils ont trouvé le convoi, ce qui est probable puisque personne ne les en empêchait, on monte à une perte sèche de +450£.

Cette campagne a mis du temps a démarrer, elle va en mettre moins à se finir !

... Ce qui n'empêche pas notre aumonier de conserver un état d'esprit résolument joyeux :

Groupe Jaune au rapport!

On a pas trouvé de fraise, le sol était gelé... désolé!

Donc, on écoute le chef, on monte, 6000m. on écoute le chef, on descend, 1000m....
On est avec le groupe à Bernardo (Blutch), on poursuit un spit à 3 (1ere rotte jaune et un martien isolé). On le perd (le spit) pas loin au nord de la montagne plate.
On écoute le chef, on se regroupe et on part au nord... enfin plutôt à l'ouest au début.. à la recherche de convoi.
Je vois au loin, une lumière, des clignotements... on continue sur un cap nord... nord ouest... ouest... et la, la lumière! alléluia! 3 chasseurs terriblement armés et dangereux qui prenait une route vers l'est. (Nous sommes en H11 (environ)) Les redoutables C47! Animé par la foi et afin de préserver mes apôtres, je décide héroïquement de les enrouler et de faire une passe. Tout le dispositif, solidaire avec moi, se jette tout de même dans le combat!
Bon, un passage et "a pu"... dommage, la montée adrénaline était si bonne!
A peine remis de nos émotions, nous décidâmes collégialement de recherché les caravanes des saltimbanques rouges. Nous ne voyons rien au sol.
Par contre, en l'air un point! quézako! un B25! Yahoo! On est en H9 et il a un cap290 alti 1000m.
Une passe chacun et le truc est en flamme tout cassé.
La, on reprend notre route, on redescend sur la poche et allons sur la base avant de refaire un tour jusqu'au point de zago. Rien en l'air. on rentre à 4, fin de réservoir.

Merci seigneur de nous avoir donner ces brebis en offrande et d'être rentré vivant!


Mission 3

La résistance dans la poche s'organise. Les stratèges alliés ont réussit à ravitailler Tapolca par les airs, grâce aux courageux pilotes de C47 "sky-train"...

Deux couloirs sont entrain d'être ouverts et tiennent bon pour le moment vers Zaaszentgrot et Tikos. Mais les efforts restent à poursuivre.

Il semble que les alliés réussissent à briser peu à peu l'encerclement. Encore une fois, ce sont les Britaniques et leurs magnifiques Typhoon qui débusquent de plus en plus rapidement les Panzer du Reich.

Cependant, les Allemands auraient entrepris un mouvement vers le Nord Est. Que cherchent-ils à faire ?

Plusieurs gares ont été détruite au cours de cette troisième mission. Hosszuperezseg (J11), Nagyathad (L3). D'autre part, un bombardement a échoué sur la gare de Balatontelle (N8) - les bombes tombent à quelques metres de la gare qui n'a pas été atteinte.

Un train allié à été sévèrement attaqué par des "Jabos", ainsi qu'un convoi routier Allemand.

 

 

Mission 4

Nous avons encore entendu des récentes nouvelles du front. Moi qui suis à proximité de la poche, je puis dire que les combats ont été âpres et nombreux, tant au sol qu'en l'air. Les artilleurs s'en sont donnés à coeur joie. Ils ont canardé tellement d'appareils au dessus de Tapolca qu'ils se sont même tirés dessus à cause d'un mauvais report de tir...

Un raid de la 8th AF a même permi de surprendre des Ar234 au parking... Quel hasard ! Mais leur bombardement sur O11 et S12 n'a pas été très efficasse.

La Wehrmacht reste encore très efficasse. Elle a détruit dernièrement de nombreuses unités. Sa mobilité est pourtant discutable, à cause de la pénurie de carburant... Toutefois, les allemands avaient réunis assez de force pour capturer et piller les villes de Tatabanya, Oroszlany et Kisber. Leur réserves doivent être reconstituées maintenant.

La Luftwaffe a réagit violement lors de sa dernière sortie en force et a détruit un précieux convoi aérien qui rejoingnait, semble-t-il, la poche et peut-être une autre base à l'Est. Mais, si à coeur vaillant, rien d'impossible, la Luftwaffe a perdu un grand nombre d'avions parfois précieux. Les Kampfgeschwader ont montré de l'habileté en détruisant les deux gares de Gyor (M17) et la gare de Menföcksanak (M16).

Le Feldwebel Olaf raconte :

Après une patrouille assez erratique , on nous appelle sur le Flak trap . Arrivés là , je n'ai plus le visuel sur mon n°1 , qui annonce être engagé par un Spit . Je n'arrive hélas pas à le repérer, et mon leader se fait bientôt descendre . Je n'ai pu su remplir mon rôle principal : le couvrir . mea culpa, j'étais parti vers un autre contact, qui s'est avéré être un Bf-109... Peu après , mon ailier IA repère un contact . Je vois derrière moi un autre contact encadré par des nuages de Flak : sans doute le bandit . Il y a heureusement beaucoup de gros nuages par ici, et je m'y enfonce pour le semer . Peu après , il a disparu ...
La radio annonce alors que des C-47 sont en approche de la base de Tapolca . J'y fonce . Sur place, j'ai le visuel sur eux . Ils sont déjà engagés par des Bf-109 . Je mitraille un C-47 en B&Z je crois qu'un de ses moteurs s'arrête . Puis je mitraille un autre C-47 en passe frontale : celui-ci explose .

Ensuite, je vois un avion qui fume d'une grosse traînée noire : c'est un P-38 ! Il est assez lent . Je dois le boom et zoomer plusieurs fois avant de le toucher , car il effectue d'habiles feintes . Peu après , son pilote s'éjecte . Je constate qu'il ne me reste que 100 litres de carburant : il faut rentrer . A ce moment , des traçantes de DCA m'encadrent , qui ressemblent à des rayons laser jaunes ! Je suis exactement à la verticale de la piste ennemie, à 500 m d'altitude ! Je me crois perdu . Je pique vers le sol et fonce vers le lac . Ouf ! Je suis sorti de cet enfer ! Mais cette manoeuvre m'a coûté beaucoup du peu de carburant qui me restait ...Je mets le cap sur la base qui me semble la plus proche : P9. Je vole à l'économie, à environ 230 km/h . Je pense que je n'y arriverai pas . Le lac semble plus long que d'habitude et ne vouloir jamais finir . Puis le témoin lumineux rouge s'allume ! Si la panne survient au-dessus d'une forêt, je suis fichu... La sueur me coule du front, l'aiguille de la jauge est presque à zéro . Mais où est donc cette base ?!
Soudain , je la vois ! Dans mes 2 heures , je suis déjà en étape de base ! Je n'ai qu'à virer à droite et à sortir le train . Finale : pourvu que le moteur ne s'arrête pas maintenant . Mais non , il tient bon ! Je me pose et libère la piste . Mais j'ignore le sort de mon ailier IA.

L'Obergefreiter Friedrich, évoque ces combats :

Que dire ? que peut être parce que les 1eres missions de la campagne ayant été très frustrantes pour moi, j'avais a cœur de profiter à la fois "d'un environnement riche en cibles" et d'une connexion enfin fiable, que grisés par mes maigrissimes progrès lors des trainings je voulais démontrer que j'avais bien assimilé, que peut être je me suis cru plus malin que tout le monde....

Bref là depuis hier soir je me sens tout m....eux car j'ai fait exactement tout le contraire de ce que l'on a essayé de m'inculquer depuis le début.
Tout allait à peu prés bien lors d'une nouvelle mission ou je pensais n'avoir jamais la chance d'apercevoir un bandit. Et voilà qu'après nous être être frottés à une Flak tenace comme un chewing-gum sous une chaussure et s'être joyeusement enroulés pendant 10mn... avec des 190 ! on se dirige vers le "flak-trap" ou ça a l'air de chauffer.

Et effectivement, pour chauffer, ça chauffe! Et là Ô joie, Ô délices,Ô Dieu Mars, des contacts, des bandits, des cocardes peu amènes bref de la viande à brasser, du grain à moudre et du bois à rentrer.........ENFIN!!!! Seulement je suis un peu largué au sein de mon dispositif et les copains se jettent sur le steak comme la vérole sur le bas clergé et j'ai peur qu'il ne me reste rien à mettre sous les crocs de mon "messer"
Tout ça me fait déclencher une crise aiguë de "combat fever" doublée d'un accès de "trigger happy" et j'avise un bandit un peu à la ramasse, bas.... comme offert comme si il remorquait une banderole proclamant "shootez moi" et je vois mes équipiers qui vont le dépasser, et je me dis "je vais me le faire, il est tout seul et pis comme ça il fera pas un enfant dans le dos de la kette" tout ça pour me donner bonne conscience.
Or ça, j'envoie à la phonie " y'en a un à la ramasse..etc,etc" et là on me répond "vas-y mais dis nous ou tu es qu'on puisse te couvrir" Et je me dis "t'inquiètes, le temps que t'arrives il sera déjà dispersé façon puzzle" les yeux brillants et la bave aux lèvres j'engage le bandit et là 1ere déconvenue : "m.. c'est un spit" A ce moment une réminiscence de la douce voix de Jo qui me disait "si tu vois un spit, tu tournes pas, t'engages, pas tu fous le camp!!! c'est des saloperies ces machins là!!" a essayé de se frayer un chemin au travers de ma bêtise crasse, mais tiens fume!!
Bon, j'y suis, j'y reste, en plus ça va j'arrive à le coincer, il essaye de me semer mais j'arrive à l'encadrer, de toute façon je suis tellement scotché à mon "revi" qu'il est pas près de s'échapper, derrière? boarf ça doit être clair.

Et vlan! sans préavis, pare brise relooké façon "erika", commandes de vol en viager, trop bas pour sauter....Salut l'artiste tu nous a bien fait rigoler et tu permets à Pyker de faire une jolie croix noire sous le cockpit de sa belle mécanique anglaise.


La RAF et l'USAF ont comme à leur habitude traqué et martyrisé les Pz dans une zone tout autour de "Bastogne". Un bombardement a échoué sur la gare de Balatontelle (N8) - les bombes tombent à quelques metres de la gare qui n'a pas été atteinte. Probablement la couverture nuageuse sur la zone. Les Spitfire ont encore semé la mort, grâce peut-être à leur fameux viseur gyroscopique.

La progression des Alliés vers Marcali est visiblement stoppée, celle de Zalaszentgrot partiellement. Celle vers Zalakopany n'a pas été stoppée et les combats continuent.

La poche appartient très clairement aux armées rouges et il ne reste qu'un tout petit noeud de résistance. Pour l'instant, l'offensive allemande pour réinvestir la poche semble stoppée.

On signale aussi des combats à Nagykanitsza et Zalaapati.

Je crois que c'est tout ce que je peux dire pour le moment. Au front, on a pas toujours les bonnes informations...

PS : un officier Américain a été capturé dans la zone frontière lors d'une patrouille de routine avec ces hommes. Le Major Francis James Ryan doit probablement être emmené dans une prison pour un interrogatoire. On a signalé par ailleurs un groupe de Sdkfz roulant en direction de l'Est à une quizaine de km de là. Il serait peut-être bon d'aller détruire son véhicule avant qu'il ne parle. Mais lequel est-ce et où sont-il maintenant ?

 

Mission 5

L'hiver est rude, et les conditions ne permettent pas aux troupes de mener leurs missions et le front stagne.

Les patrouilles aérienne des deux camps se sont croisées à quelques kilomètres les unes des autres, à la recherche de véhicules ou blindés de l'US Army ou de la Wehrmacht.

Un pilote d'origine Française, mais combattant sur un P38, a été abbatu et fait prisonnier. Une erreur de pilotage lui a couté ses deux moteurs lorsqu'il passait trop prêt du sol. Des témoins l'ont vu essayé de s'échapper, mais la Feldgendarmerie l'en a empêché.

Nombreux sont les pilotes de 109 qui sont tombés ou qui se sont parachutés au dessus du lac gelé et de la presqu'île de Tihany. Victime des Spitfire de dernière génération, les pauvres diables se sont fait coeuillir comme des bleus.

Mais dans le combat, les pilotes des dits Spitfire n'ont pas eut le temps de savourer leur victoire. Deux Me262 agiles se sont glissés dans le combat et ont détruit 3 de ces diables. Le leader de la patrouille s'en tire mais devra en tirer les conséquences.

Le Major quittant son poste de pilotage pour cette mission accomplit, n'a en tête que la situation globale du front... Mais voici qu'il vient à raconter son combat :

Groupe Noir - 262A-2a.

Chargés de deux SC250 et de 200 obus de 30mm, la patrouille composé du Mjr. Tempest et de l'Ogf. Vylsain décolle de K12.

Le premier objectif est le pont routier d'O10. Noir2 engage et détruit... un pont ferroviaire (mais ça, nous le saurons après).

Le second objectif est le pont routier de N9 que Noir 1 détruit.

Le troisième objectif est une mission de chasse libre au dessus des poches nord et sud dans lesquelles interviennent les Jabo et les ZG. RAS

Après plusieurs aller-retour N-S, la patrouille est envoyée vers Zirc. Un coup d'oeil au dessus du flacktrap et la patrouille atteint son but. Puis repart vers les zones N et S d'origine.

Puis les 4 Jumo 004, gourmant, font signe en réclamant toujours plus de coco. Cap vers Vezprem pour un ultime sweep à la verticale du lac.

Arrivée pour un circuit, des tirs sont signalés à la verticale du flacktrap de Tihany. Il reste 350L dans les réservoirs, soit environ 10m de vol, 7 s'il y a du combat.

Arrivés sur zone, les 2 262 repèrent les 109 engagés et les Spits aggresseurs.

Noir Leader : "noir lead pour noir 2, tu connais ton boulot ?"
Noir 2 : "oui"
Noir Leader : "engagment libre !"

Et les deux Jumos permet aux deux hirondelles de survoler la zone.

Noir lead engagé à une reprise, essuie des tirs sans être atteint. Noir Lead détruit 1 Spit en frontale à 45° par un tir en deflexion ou le MK108 fait de la dentelle (William)
Noir 2 détruit juste après cela un autre spit (Plekov ou Uri).
Noir lead repère un spit en fuite qu'il détruit en l'assassinant. (Pyker)

Bingo fuel, RTB. Originalement, noir lead se dirige sur Dombovar Nord, sans s'apercevoir qu'il est suivit par un P51D25 (j'étais entre 50 et 60% de gaz à 1000m moins).
Noir 2 annonce qu'il ne peut rejoindre cette base et qu'il se dirige vers Vezprem.
Noir Lead décide alors de rejoindre cette base à son tour. Et au lieu de se faire descendre lui, c'est numéro 2 qui sera la cible. Son moteur gauche brule mais il se pose et les pompiers arrivent. Le P51 en question est détruit pas la Flak.
Noir lead un peu stressé trompe l'ennemi et atterri au dernier moment sur le taxiway et rejoint le parking ou il coupe les moteurs.
Une minute trente après un P51 qui sera abbatu plus tard fait un passage bas et tir sur mon avion.

2 pilotes RTB/2, 1 Jumo 004 à changer, 3 victoires et un cierge posé par Sir Archy à la chappelle du village.

Ces deux derniers ont toutefois été inquiétés par de courageux, rusés, mais inconscients pilotes de l'USAF. Deux carcasses de P51 sont tombées près de Vezsprem, mais un des Me262 a été endommagé serieusement. Son pilote indemne, a réussi à poser son avion, malgré l'incendie qui s'était déclaré sur le réacteur gauche.

Les Spitfires ont beaucoup fait parler d'eux, mais ils ont peut-être trouvé un adversaire à leur taille.

Les Jabos dans leur Focke-Wulf A8 ont de leur coté cruellement de précision, et c'est au Me410, dernière merveille des ateliers de la Bayrische Flugzeugwerke, que la Luftwaffe doit la destruction de 2 ou 3 Shermans, 2 85mm et 1 M16.

Le leader du Schwarm rédigera dans ses carnets :

Groupe rouge Jabo FW190A8
Touch, Daimler, Ice

Mission dense et ludique pour ce qui nous concerne, très immersive j'ai trouvé.

La première phase se déroule comme le briefing le prévoit.
Départ et regroupement au cap direct vers l'objectif, le groupe jaune haut en arrière.
Nav. basse altitude vers la pointe occidentale du lac et remontée de la route depuis Kesztehl jusqu'à Zalaegerszeg.
Quelques flocons de flak trahissent la présence de l'ennemi en J8 pile entre la route et la rivière axées nord sud, au nord du pont. Au moins 3 Shermans repérés.
L'attaque se déroule sous la bienveillance des 109 "jaunes" mais le résultat est médiocre ; un seul blindé détruit, la bombe de Daimler eclate trop loin de sa cible, celle de Ice semble faire long feu : 1/3.
Comme prévu, nous revenons sur Marcali en prenant de l'altitude car nous comprenons que l'ennemi est présent ; le 410 nous est signalé "marqué". Nous rappliquons mais arrivons après la bagarre visiblement.
Prudemment, nous orbitons au sud de Marcali, inquiété par un chasseur isolé qui tente de serrer sur nous. Nous comprenons tardivement que c'est un 109 isolé, snas doute du groupe jaune, qui n'a pas répondu à nos injonctions d'identification. Cela a failli lui couter une rafale !

Disponible pour chasser ou straffer, nous demandons un cap au contrôle qui nous oriente vers Mor où progressent nos chars pour se mettre en protection au cas où.
Nous demandons au groupe jaune de nous suivre et proposons le RDV à destination au groupe noir (Me 262).
Après une nav. précise nous débouchons pile sur Mor ou tout semble calme.

Nous décidons d'explorer l'axe Mor / Kisber et poussons jusqu'à Gyor, toujours en informant les 262 que nous ne voyons pas mais qui rôdent dans les parages.
Nous effectuons un léger crochet au nord de Kisber pour faire un tour de manège sur la base sise en P9 : visiblement déserte.
Nous parvenons à Gyor. En plein centre s'étire un large faisceau de voies ferrées selon l'axe nord sud. Un train stationne en gare : nous effectuons une passe de straff, les tois appareils l'un derrière l'autre mais sans provoquer plus de dégâts que farcir les wagons de plomb.
Ne trouvant rien d'intéressant à nous mettre sous la dent, nous décidons un retour base en refaisant un passage basse altitude sur la base de P9 : cette fois c'est certain, pas âme qui vive dans ce trou.
Le contrôle nous demande alors un dernier vol d'observation depuis kisber jusqu'au flaktrap en passant par Zirc.
C'est en arrivant sur Zirc que nous captons l'alerte donnée par "jaune" et "vert" : "Spitfire" !ça bagarre copieux sur le flaktrap. Nous mettons plein gaz pour rejoindre aussi vbite que possible en prenant soin de monter ; nous savons que les 262 seront là avant nous.

Nous entendons les combats à la radio et énumérons nos camarades qui tombent l'un après l'autre...
Lorsque nous arrivons enfin sur zone il est une minute trop tard. Le combat s'éparpille et les Spits rompent le combat en fuyant vers l'ouest ; nous sommes haut et rapides et je tente une poursuite au petit bonheur la chance en piquant vers l'ouest, mais avec le soleil de face nous ne voyons aucun des ennemis fuyant au ras du sol.
Nous rebroussons chemin avant d'arriver dans la zone de DCA de Tâpolca et déchainer l'enfer !

Nous rejoignons les 262 à leur demande pour couvrir leur atterrissage à court de carbu sur Veszprem.
C'est alors que se produit l'inattendu ; alors que nous orbitons à 2000 m, un P51 surgit de nulle-part a fondu sur un 262 en finale, l'embrasant instantanément. La falk ne nous a même pas alerté, commençant à tirer trop tard. Le 262 était déjà en feu. Encore ce sentiment d'arriver quelques instants trop tard !
Nous redoublons d'attention car il reste un Schwalbe à poser. Un second P51 surgit alors que le Messerschmitt est au parking. Il straffe la base, mais nous tombons dans ses six immédiatemment. La poursuite dure asse longtemps car le bestiau est rapide et ne commet pas l'erreur de virer serré. Mais il fuit au ras du sol dans la mauvaise direction et s'éloigne de ses lignes. Nous nous déployons en ligne de front pour lui couper la retraite.

Quand enfin il vire, je le tire à longue distance : une fois, deux fois, trois fois sans succès. La quatrième fois causera sa perte : je le touche superficiellement mais suffisamment pour casser sa vitesse. Il vire, plus serré cette fois. Je coupe son virage et le touche encore d'assez loin, mais il est piégé, Ice et Daimler resserrent le filet de part et d'autre. Daimler le tire sévèrement par le dessus d'une longue rafale. Son esquive le fait partir en vrille. A ce moment Ice arrive sur lui et lui assène le coup fatal : il tape pleine cible sur le Mustang tournoyant devant lui.
Le P51 tombe comme une pierre... et sort miraculeusement de sa vrille à moins de 50m du sol !!! Je m'apprête à retomber dans ses six pour en finir, mais l'avion se vomit sur le sol en une longue gerbe de feu, sans doute blessé mortellemment par toutes nos attaques.

Nous rentrons tous trois sains et saufs, avec pour ma part un sentiment mêlé : frustré d'être arrivé à chaque fois un peu tard dans la bagarre et heureux d'avoir fait payer à ce yankee la perte d'un de nos 262.

Résultat un Sherman perso et un P51 collectif. 3/3 RTB


La poche de Tapolca est maintenant réelement ouverte et n'est plus menacée dans l'immédiat, mais on entend que les troupes Allemandes préparent un assaut final auquel ferait face de nombreuses unités Alliées.

Toutefois, dans les poches adjacentes, la Wehrmacht livre un combat sans mercie, qui lui coute un Panther et un PzIVJ. Mais elle détruit quelques Shermanns téméraires.

L'armée Allemande n'a réussi pour le moment qu'à atteindre 10% des objectifs qu'elle s'était fixé. Le pillage de Csem et de Tata ne doivent être qu'une étape si la Wehrmacht veut réussir sa contre-offensive...

L'US Army elle, tient coute que coute, non sans perte, mais réussit à tenir tête à la machine de guerre d'outre Rhin.

À la faveur de la nuit, les véhiculent s'ébranlent et se repositionnent. L'assaut va débuter bientôt.

 

Mission 6

Une mission de chasseur, réussie au sol mais pas nécessairement en l'air ou les combats ont fait de nombreux dégats, à en croire le Feldwebel Olaf...

Peu après notre jonction avec les FW Jabos, notre Schwarm se sépare en 2 Rotten pour aller reconnaître des contacts suspects dans nos 6 heures (qui s'avéreront être des FW ) . De plus , la 2ème Rotte se retrouve elle aussi disloquée . 3 et 4 mettent un certain temps à se retrouver au-dessus du lac de Marcali . Mais, à ce moment , la 1ère Rotte est déjà engagée en un lieu indéterminé , et son leader bientôt abattu, tandis que n°2 se perd . Nous le cherchons sans arriver à le retrouver .

Puis nous continuons à patrouiller à basse altitude à la recherche de bandits, tandis que le crépuscule croît . Nous n'en trouvons pas . Ce n'est que bien plus tard, alors que nous décidons de rentrer ( à faible vitesse pour économiser le carburant ) qu'un bandit surgit , alors que nous nous y attendons le moins (cf. la vidéo de Jaffar ). N°4 est arrosé , j'essaye aussitôt de le dégager , mais le bandit s'échappe à temps . Hélas, n°4 s'écrase peu après . Une belle manoeuvre de "drag & bag" avortée...
Les Me-262 veulent venir à la rescousse . Ils arrivent à me retrouver , mais je fais une fausse manoeuvre avec le dispositf MW 50 qui grille mon moteur . Celui-ci perd sa puissance, et je m'écrase dans une forêt à flanc de montagne...

Donc, désastre complet pour le groupe "jaune", en partie à cause de mes erreurs . Je m'en veux de ne pas avoir su protéger mon ailier, un novice qui aurait tant aimé pouvoir conclure sa première mission opérationnelle par un RTB...(mais son temps de survie a été de plus d'une heure, ce qui n'est déjà pas si mal ! )
Petit point positif : les communications radio en bindings ont été relativement efficaces .

 

Mission 7

Notre aumonier fait des adeptes, et ... certains demandent pardon... Par exemple, l'Unterfeldwebel Ice écrivit ceci...

Pardonnez moi mon aumônier car j'ai pêché !

Quand le P-51 en vrille tu verras tomber,
Point sur lui tu t'acharneras,
Prends de l'altitude et de là tu observeras
Et si par malheur il réussi à s'en tirer,
De tout là haut sur lui tu piqueras,
B&Z tu exécuteras
Et non tunnel de métro tu creuseras !
Percuter la cible tu t'abstiendras
Sinon !...à titre posthume, les honneurs et médailles tu recevras
.

ET QUAND 900 ANS DE SIMU COMME MOI TU AURAS !
FATIGUE DE FAIRE TOUJOURS LES MÊMES CONNERIES TU SERAS !

Passons... L'heure est aux combats, et non aux prières. Les Jabos partent en chasse et détruisent quelques objectifs à la suite d'un travail bien coordonné.

(Oberst Touch) Radar Leader, Fw190G8 avec Naxos, Daimler et Bornos.

Regroupement avec l'escorte Rouge sur Vesprem avant de se diriger vers l'objectif N11 M11. On essaie de ne pas perdre Naxos qui navigue presque sans visibilité ; son pare brise s'est vitrifié soudainement en passant au travers d'un nuage de cendres volcaniques !!! (bug liste joueurs).
Les Shermans recherchés sont bien là entre Ajka et Szentgal, biens camouflés mais trahis par les impacts environnants de notre artillerie.
Nous menons notre attaque : Daimler casse 2 Sherman et moi 1, notre artillerie détruit le dernier. La flak à l'approche de Ajka est intense, nous partons donc vers Tikos, précédé de notre escorte.
Au passage du lac Balaton, le groupe Rouge signale des combats sur le rivage entre Fonyod et Balatonelle. Naxos, malgré l'absence de visibilité, attaque avec succès une DCA située à l'entrée ouest de la citée de Balatonelle. Nous cherchons d'autres cibles mais devons évacuer la zone de toute urgence lorsque des P51 surgissent.
Nous nous regroupons en cercle défensif sur le lac de Marcali, sans Naxos...
Une fois certains que les chasseurs ennemis sont sous contrôle, nous prenons la direction de Tikos, à 3 minutes à l'ouest de Marcali. Bornos dispose encore de toutes ses munitions et Daimler d'une SC500. Immédiatemment nous sommes reçus par une DCA lourde intense, complété par des 25 mm hargneuses.
Daimler engage une pièce mais est malheureusement touché lors de son attaque et finit au tapis... Je straffe cette pièce avec succès. Les unités repérées sont étirées depuis Tikos vers le sud jusqu'à la ligne de front, le long de la rivière bien camouflées dans la végétation bordant les prés. Je signale un 25 mm turbulent qui survit miraculeusement à deux passes de bombardement de Bornos ... je ne fais pas mieux en tentant de straffer 3 fois !
Notre chasse s'est évaporée nous sommes sans protection. Il est temps de rentrer car je suis à court de munitions et Bornos a pris quelques éclats ; son avion vol mal et cela lui est fatal à l'atterrissage...
Je me pose finalement sain et sauf.
Bilan du groupe : 3 shermans, 2 dca dont 1 et 1 pour bibi.

Ceci a été rendu possible grâce à l'escorte des pilotes de 109, tel que le décrit l'Oberst Hammelmann.

Rouge leader, Manfred en 2, Vyl en 3 - escorte du groupe Radar.

Nous prenons rendez vous sur notre base peu apres le depart ils arrive et nous leur emboitons le pas .

Arrivés près d'Ajka les 190 détruisent quelques tank puis nous partons sur Marcali. Les 109 prenent la tete, nous traversons le lac. Arrivé pieds secs, il y a des combat au sol que je signale a Radar leader qui me demande la position. Je fais le point car je ne sais pas avec précision où je suis... j'ai une ville mais Balatonelle ou Fonyod... Une fois le point fait, je donne la position précise. Les 190 sont sur zone aussitôt.

Puis nous croisons un 262 blessé qui rentre... à ce moment là les P 51 arrivent. Nous prenons de l'altitude pour arrivé sur Marcali. À ce moment Vyl signale un contact dans nos six... demi tour !

Je ne vois rien, vyl me dit le voir - ok passe devant ! Puis il prend de l'alti, traverse la couche. Nous aussi a ce moment là plus de visu. Vyl nous dit que le contact est tombé nous retournons sur Marcali.

Vyl dit avoir des spit dans ses 6. au moment ou je regarde en arriere je vois un contact passé en trombe a coté de Vyl. Je le prend pour un spit le suis mais c'est Ed. Je demande a vyl sa position mais trop de monde parle a ce moment... je demande une seconde fois et encore une fois saturation des com... je demande le silence afin de pouvoir localiser Vyl.. Enfin il nous donne des precisions - nous somme juste au dessus, nous piquons et croisons un spit. Vyl dit etre offensif on tourne avec ce spit qui a un comportement etrange puis tout vas tres vite volta tombe, le spit qui est dans mes 12 pique sur vyl... pas le temps de lui dire de breaké que c'est fini pour lui la chasse continue avec ce maudit spit mais impossible de le mettre dans le viseur puis soudain il disparait... nous le cherchons dans le vide de peur que de chasseur nous ne devenions chassés. Nous partons tres vite de cette zone. Manfred est à sec. Nous sommes trop loin de notre base pour lui, nous nous posons en P9 juste a temps pour Manfred.

 

Mission 8

Cette mission aura marqué les esprit par la qualité de la chasse, qui fera à nouveau parlé d'elle. Les Doras et les 262 feront parlé d'eux...

Major Tempest :

Il est 7 heures à ma montre de vol. Nos deux appareils sont alignés sur la piste d'envol en bêton. Nous avons du mal à le croire, mais les alliés auraient enfoncer le front à Bastogne, et brisé l'étau qui s'était refermé sur eux. Par expérience, nous savons que les défenseurs d'un Kessel ont une combativité bien supérieure à celle d'un front classique, la bataille de Stalingrad que nous avons remporté il y a quelques mois nous l'a prouvé.

En radio, nous entendons les com qui s'agitent. Les différentes patrouilles que nous devons escorter se forment et prennent le cap de leur mission. Les Fw190D9 "long-nez" du Hauptmann Edwald, les Bf109G10 de l'Oberst Hammelmann et les Fw190G8 de l'Oberst Touch, et nous, la paire de Messerschmitt 262A-1a, formidable machine, à l'effet psycologique dévastateur, au sens propre du terme. Finalement, ce sont les quatre plus vieux pilote de l'escadrille qui ont en charge la conduite de la mission.

7h06 : nous démarrons nos deux turbines. Un a un, les différents compteurs s'éclairent, frétillent et indique les pressions d'admission, la poussée, les formidables instrumentations de nos JuMo.

Après la préchauffe régulière des moteurs, 7h10, nous décollons avec mon ailier, Polia, un jeune pilote tout juste sorti d'école et qui n'a pas encore son brevet Turbinen Pilot.

Nous rejoingnons sur la zone les 109 et les G8 qui s'enquiert de leur attaque sur quelques unités au bord d'une route au Nord de Mor.

Pendant ce temps, nous avons grimpé jusqu'à 3000m à 50% de la puissance, ce qui nous aura permis de sauver du carburant pour le reste de la mission. Malheureusement pour lui, mon ailier bas des ailes et indique un problème, sans doute moteur. Il rentre. Je décide de poursuivre seul la mission.

L'attaque des Jabo terminée, je me dirige vers Fonyod où dans la zone, les Longs Nez s'en sont pris à 3 P38 qu'ils ont détruit. En chemin, je passe près des Bf109 à environ 3500m. Ces derniers prennent peur et je les rassure en radio. J'avoue que je voulais les inquiéter "pour rire" et que de les voir s'éparpiller m'a amusé, mais je me le suis reproché par la suite...

J'établis le contact avec les FwD9 et j'entre sur leur fréquence sur zone.

Les G8 rejoingnent Fonyod et brusquement, le combat s'engage. Des Spitfire, des Mustangs, des Thunderbolts sont dans la bulle et nos trois appareils sont vite appelés en renforts. Le combat est bien mené, les 190 font du BZ, je poursuis d'abord un Spit qui break fort et lâche sa prise, puis un P47 que je ne parviens pas bien à rattraper, ses manoeuvres étant très violente dans le sens vertical, et qui me fait perdre beaucoup d'énergie. Je vérifie bien que l'ailier et devant "ma prise" mais je suis obliger de renoncer pour ne pas exposer mon appareil et son pilote à des tirs d'avions doté de plus d'énergie que moi. Je reprends un peu de vitesse et travaille alors avec les D9. Je suis prévenu qu'un P47 me suis, je l'emmène en balade au dessus du lac pour que Ed le reprenne avec Naxos, ce qui est bien fait. Je reviens dans le combat et engage ce contact en passant devant Naxos que je préviens. Deux longues rafales de Mk108 avec encore, un autre P47 hors de porté dont les Longs Nez se chargent d'occuper. Mon Thunderbolt s'écrase, et Edwald endommage sérieusement le second qui finira par se tuer à l'atterissage. Sans doute un jeune pilote envoyé trop tôt au turbin...

Mais le combat continue. Je préviens de l'arrivée d'un P51 en BZ dans la bulle, et en annonçant le danger, je me replace pour aider Ed en difficulté. Je suis enfin replacé, je demande à Ed un virage à droite. Ed est touché. Je plonge et à la verticale de Fonyod, je place le P51 dans mon collimateur. Me voyant, le bougre pousse le manche encore un peu, prenant peur pour sa vie... Mais il est tellement bas que je ne peux pas prendre le risque de poursuivre ma passe au risque de ne pas pouvoir redresser à temps, car j'ai quand même 800km/h au badin. Je ne presse pas la commande des armes de bord, mais je tire sur le manche légèrement pour redresser. Je passe au dessus de lui et de Ed que je devine sous mon nez. Et là, dans un grand fracas, une gerbes de flamme et d'étincelle. Literallement, je crie en radio :
- Ed, Ed, c'est toi ? Tu as été touché ?
- Non, non, tout est ok !
Le P51 s'est encadré une maison. Tant mieux !

Dans la suite, je prends la direction de Tapolca à la recherche du P47 endommagé par Ed et Naxos, mais je ne le vois pas. Tant pis. Mais un contact au loin m'interpelle. Je lui fonce dessus. C'est un spit, que j'encadre, mais au moment de tirer, le bougre break. Je suis sur que c'est le même que tout à l'heure. Je dégage la zone sans insister, mais je reviens avec 4000m, et je ne vois toujours rien. Je décide de rentrer, malgré tout mon carburant, et je monte la garde avec Vyl qui nous a rejoins, et les deux 190D9, à la verticale de Veszprem, dans l'attente d'hypothétiques Typhoons.

Rien ne vient, alors j'annonce mon retour en ZPA sur la 22 de S12. Posé sans dommage sous la couverture de Vyl, dont l'avion ne revêt pas les couleurs règlementaires. Je vais devoir râler.

Le Bf109 qui ne porte pas les couleurs réglementaires, c'est celui du Gefreiter Vylsain. Il est bien là, à coté de moi, avec ces couleurs farfelue. Nous sommes dans la Luftwaffe et j'entends lui rappeler, dans la JG300 qui plus est ! Cela ne l'empâcha pas de faire un bon vol, et de rentrer. Voici son débriefing...

Rien à noter avant l'attaque de Balatonelle. A notre arrivée, nous sommes accueillis par un M16.
Quelques minutes après arrive la cavalerie, ils ont laché leur boulot d'escorte et sont venus asap lorsqu'ils ont vu les tirs de M16.
Un long combat s'engage. Hammel est endommagé et rentre. Jaffar m'annonce qu'il est pris par un Spit. Je le dégage d'une première rafale et j'achève ce spit d'une seconde rafale à longue portée. L'appareil doit être suffisemment abimé pour que Archy saute. Entre temps, je me fais BnZ par 1 P51 et 1 P47 qui m'amoche un peu. J'ai un trou en face du viseur mais c'est pas trop genant.
Je reviens vers Jaffar qui est en combat contre de nombreux P51 et P47. Je le vois piquer à la suite d'un P51 qu'il suivra dans le tombeau en y impliquant également un arbre innocent. En suivant Jaffar, je vois des tirs de spits et je me dirige vers lui lorsqu'il découpe Jo. Je l'engage en espérant venger Jo et en me voyant, le spit qui manque quelque peu d'énergie engage un virage serré. Je me mets assez rapidement en position de tir et découpe le Spit piloté par Uri.

Un merci aux 262 et D9 qui viennent occuper l'USAAF. Je m'ecarte du combat pour reprendre de l'altitude mais les 2 spits restants m'ont vu et me prennent en chasse. Là ça devient compliqué ! De plus, les 2 spits restants sont Pyker et Volta et ce ne sont pas des manches. En 1 contre 1, je n'aurais pas été si inquiet mais là, je vais me faire BnZ par deux Spits que je ne pourrais probablement pas aligner étant donné leur vitesse. Je décide de ne pas être offensif et d'éviter les passes successives avec quelques manoeuvres serrées qu'ils ne peuvent pas suivre en profitant de chaque instant pour traçer vers les lignes amies. Ça marche et même si je prends quelques plombs inévitables, j'arrive à les faire overshooter alternativement, j'en profite pour lâcher quelques rafales qui donnent ma position et qui touchent parfois. Pas de quoi abattre un avion mais assez pour dissuader et endommager légèrement. Ce cirque dure une dizaine de minutes et je le sens de plus en plus mal lorsque l'un deux part avec une fuite de carburant. Je continue de faire overshooter l'autre mais son moteur griffon me laisse sur place avant même que je ne l'encadre. Finalement ils se lassent et fuit vers ses lignes en me laissant épuisé.
Le reste de la mission se passe sans soucis, en dehors de mon retour, où je prends un savon par le Major... pour peintures non réglementaires sur mon appareil.

Au cours de cette mission, 13 appareils ennemis sont détruits, pour la perte de 4 des notres.

 

Mission 9

Bientôt, la neige quittera les plaines et les vallées. Mais pour le moment, la guerre fait rage dans le froid.

Depuis quelques heures, le front a été perçé, dans le secteur Sud, et l'aviation alliée accumule les brillantes sorties avec leurs célèbres Typhoons sur ce secteur. Les alliés progressent rapidement avec leurs pelotons rapides et manoeuvre avec agileté. Ils ont capturé deux bases, P4 et P5, ainsi que plusieurs villes comme Dombovar ou Kaposfüred.

Cependant, dans la région Nord du front, des unités de la Wehrmacht se sont prudement avancées vers Gyor et ont sur certaines ligne de communication percé le front, et se sont emparées de la base de Gyor0.

Les pilotes d'assaut racontent leur mission :

Groupe Rouge. Touch, Naxos, Ice, Bornos.

Nous perdons Bornos au regroupement ; il décroche en virage serré pour rassembler...

Jonction avec jaune sur P9, Vert en couverture haute, j'engage la route vers Marcali en prenant le plus au sud possible pour éviter Fonyod. Edwald seul en 410 allume les défenses aériennes de Fonyod ce qui crée sans doute une sorte de diversion en attirant la chasse alliée.
Nous croisons des P38 TBA cap à l'est à l'approche de Marcali ; nous continuons ouest sans dévier tout en les signalant à la chasse qui leur tombe dessus au moment où ils passent dans nos 6. Le dispo fonctionne et nous pouvons filer en sécurité vers Tikos.
Nous nous mettons en recherche des cibles avec une certaine fébrilité car nous savons l'aviation ennemie proche et nous scrutons les routes sans rien voir !!!
Enfin Ice annonce une colonne de 4 chars (K6.2) filant plein nord vers Tikos ! Je suis à cet instant pile dans l'axe face à eux. Je plonge et largue mes deux charges à la suite en remontant la colonne. Gros boum mais un seul Sherman détruit. Nous nous activons pour la suite de l'attaque car la chasse rouge est à proximité immédiate sur Marcali et nous apercevons d'autres contacts plus à l'ouest ; je n'ai pas envie d'être pris "la main dans le pot de confiture"! Ice et Naxos attaquent à leur tour et cassent un second Sherman ; pendant que je me place à nouveau en couverture, je repère une seconde colonne de 4 Sherman qui fait suite à la première à une minute d'intervalle. Grosse frustration car nous avons consommé toutes nos bombes et nous ne pouvons que les laisser filer vers Tikos...

Nous quittons la zone en vitesse car la chasse rouge est maintenant sur place ; Ice tire un M16 avant de décamper.
Nous contournons Marcali par le sud pour éviter les combats et prenons la route de Kisber escortés par Jaune puis bientôt par Vert qui était engagé auparavant.
Des contacts sont signalés lors de la traversée du lac mais la chasse s'interpose à temps à chaque fois : alertes sans suite cependant.
Nous atteignons la route qui relie Mor à Kisber : la DCA ennemie s'allume sur Kisber. Nous en débusquons une dans un champ et la faisons taire. Des pièces lourdes essaiment leurs flocons mais nous ne parvenons pas à les localiser. Nous retrouvons en revanche 2 Sherman isolés et dissimulés en lisière de forêt le long des routes descendant vers Mor. Nous ne pouvons pas intervenir faute de munitions adaptées. Naxos est déco à ce moment de la mission. Nous effectuons RTB sur P9 sans histoire.

Bilan du groupe : 2 Sherman, 2 DCA, dont 1 Sherman pour moi.
Belle mission et organisation du dispo efficace en protection, bravo.


Le front dans la région centre, autour de ce qu'était la poche de Bastogne, semble s'être stabilisé, et peu de combat s'y sont déroulés.

Du fait de la destruction du pont 103, la percée bleue n'a pas été encore stoppée à l'Ouest du lac.

Pour la chasse, c'est une mission sans trop d'histoire...

Groupe jaune dans l'ordre hammel, fredrich , wolf, jo

Regroupement avec rouge sans probleme puis cap sur marcali avec un détour par le sud.

Sur zone le groupe rouge signale des jabo ennemis nous plongeons mais un seul repéré qui rejoins le sol quelque minute plus tard...

Puis vert signale des contact nous filons avec les 190 cap sud puis cap 90 et ensuite nous partons sur le second objectif. Lles 190 signalent un contact dans leur 6 nous partons à sa rencontre, mais c'est jaune 4 qui etait un peu ecarté... Retour vers Mor.

Nous cerclons tendis que les 190 attaquent des cibles invisibles pour nous. Jaune 2 n'a plus de carbu, je le reconduis à la base 3 et 4 restent sur zone. Je retourne sur mor avec 3 et 4 nous rentrons. En chemin ont nous dit que la base des 190 et attaqué le groupe rouge va dessus. Nous suivons, mais plus haut arrivés sur place : ras. Nous rentrons à la base :tout le monde rtb.

Mission 10

Mais dans une manoeuvre de contre offensive, des unités blindées de la Wehrmacht (garnison de Kaposvar sans doute) ont pris à revers l'avance rouge et ont coupé la ligne de ravitaillement vers la base de P4. Les combat y font rage à l'heure actuelle.

Cela n'a pas empêché aux alliers de poursuivre leur assaut meurtrier en direction de la base de P9 au dessus de laquelle s'est déroulée un combat mémorable entre la Luftwaffe et les RAF et USAF réunies. La Flak s'est réveillée et mise en branle, a détruit plusieurs appareils alliés. Le jeune Jaffar raconte :

Groupe vert en protection haute des Jabos.... après qu'ils aient cassé les ponts on met le cap sur le WP suivant. Je suis un peu à la ramasse mais c'est comme ça que je vois 4 contacts nous dégringoler dessus , je préviens mais on est coiffés par des P-51 on disloque le dispositif en ciseau, j'entends que ça gunne et je vois un 109 se faire allumer par un mustang... j'essaie de lui venir en aide quand 2 autres m'overshootent et j'arrive à monter un moment avec eux et même à en aligner un et à lui tirer dessus, je suis presque sûr à 100% que j'en ai touché un vu le nuage de fumée qu'il y a eu... mais alors avec du 30mm j'aurais du le vaporiser afro si quelqu'un peut regarder sur un track, ça m'intéresse. Sinon à force de cadencer comme un sourd je finis par partir en décrochage dissymétrique et paf! la vrille. Je me ramasse après quelques tours et j'essaie de remonter et de retrouver les copains car c'est pas fini! et que je te croise un mustang, et que je surveille mes six pas assez apparemment car j'en vois un qui m'allume au moment ou Ed me crie "break" est-ce la faute à Ventrilo ? On en avait parlé au moment du décollage... prémonition. Avec le recul je me dis que "l'échappée Hartmann" aurait été pertinente mais dans le feu de l'action...

Bref pare brise relooké façon BP en Louisiane mais ça vole toujours, donc RTB sur les conseils du leader....je suis un peu paumé mais arrive à me retrouver au dessus du lac à proximité de cette péninsule de malheur. Péninsule maudite qui refait des siennes et persuade mon moteur de prendre feu. Je sens quand je suis de trop quelque part et là mon instinct m'a gentiment montré la sortie pour une percée "soie et suspentes" tout se passe bien et je pose le pied dans ce que je crois être nos lignes.

je revendique un endommagé
éjecté dans nos lignes.
avion détruit mais je suis encore là pour en parler et combattre un jour de plus...

Contrairement, au Major, qui se jour là, se fera descendre pour la première et dernière fois de la campagne...

Messieurs,

La tristesse m'envahit. C'est les larmes aux yeux que je vous annonce la disparition tragique du Major Tempest. Hâpé dans les faux lunineuses des Brownings, son avion déchira le ciel et les coeurs dans un fracas indescriptible.

Depuis 8 missions, dans les plus beaux appareils du Reich, il défait l'ennemi, parfois avec succès, parfois avec arrogance. Il le savait : on ne laisse jamais s'échapper un Me-262 blessé. Son moteur gauche en feu, il sélectionne les moteurs et, pensant ne couper que le droit, coupa aussi le moteur gauche. Dans ce piqué infernal vers sa base, il se préocuppe d'éteindre les flammes embrasant son fidèle "3 noir", d'échapper à l'ennemi, de prévenir ses camarades de son prochain atterrissage d'urgence - il tient absolument à ramener son avion à sa base, il se l'était juré - et bien sûr, de rallumer son moteur. Dans le tumulte de la bataille et l'acharnement de son ennemi, un Major de l'Air Force réputé pour plaider avec "des avis" aura raison de lui. Tué d'un coup direct dans le corps, l'avion percutera la planète quelques instants plus tard. Entendant un certain Obergefreiter Vylsain dire "break gauche" il répondit calmement, conscient de l'iminence de sa rencontre brutale avec son destin, "Noir lead, je ne peux pas, je n'ai plus d'énergie.".

Mais les artilleurs de Siofok ne s'y sont pas trompé. Le fameux Major de l'AF le paiera de sa vie. Abbattre un Major de la Luftwaffe coute toujours cher.

Pour des années encore, le souvenir de son franc parlé, de son mauvais caractères, de coté son maniaque, marquera sans nul doute les futures générations de pilotes. Pour son dernier vol, il avait revêtu un tout nouveau blouson de vol. Il avait laissé le sien, en souvenir à un élève qu'il avait formé, le Fahnrich Daimler. Ce dernier n'avait pas pu voler cette mission.

Le Hauptmann Egon a rassemblé ses affaires, et a demandé au Hauptmann Edwald d'en prendre soin. Ice et Hornisse récupérèrent ses habits, car ils étaient en manque de chaussette. JäG récupéra les clef de sa moto BMW. Hammel, l'adresse de ses parents, pour leur raconté un mythe comme seuls les Bavarois savent le faire. Son uniforme de sortie, Manfred en fit son affaire. Les petits jeunes récupérèrent quelques décorations. Jaffar, pour sa première victoire, récupéra son Ehrenpokal. Quel signe. Friedrich pris les rubans de campagne qu'il avait en double. Polia, alla rechercher une roue axiale martyrsée du compresseur de son Jumo 004 dans les débris encore chauds et dispersés sur plusieurs centaines de mètres. Edwald récupéra toutes les nues qu'il avait dans sa chambre. Egon s'empressa de chercher sa croix de chevalier avec Feuilles de Chêne, Epées et Diamands, mais comme à son habitude, il la portait toujours au cou lors de ses vols de guerre. Sur sa carcasse calcinée, elle resta brillante et le constrate fit penser à un signe du destin. "Arrogant jusqu'au bout !" pensa Tabo...

La base a resisté et l'assaut est émoussé - pour combien de temps ?

À en croire le récit de l'Oberst Hammel et celui de l'Obergefreiter Vylsain, ce fut une grosse bataille...

Lead du groupe jaune avec jo et jaffar, protection du groupe rouge...

ça debute mal plus de com radio avec le groupe rouge ! puis le ice prend le relais de touch pour la com rien a signalé jusque au milieu de la mission on nous allons dans le secteur nord
ça commence par le groupe vert qui plus haut, se fait engager. Puis nous voyons les trainées du combat à haute alti et enfin des contacts.

Basse alti à ce moment je previens le groupe rouge, nous repartons sur le secteur P9 ou n°3 me signale un contact fumant. Nous allons voir de quoi il retourne... c'est un typhoon en maraude Jaffar N°3 lui regle son compte. Après deux trois tour du secteur la flack de la base s'allume. Nous filons cap a l'Est nous mettre à couvert et revenir avec un peu d'alti. Mes ailliers me signale des contacts.Mais je ne vois rien. Il me guide, je vois un avion argent qui grimpe suivi de 2 autres contacts.. nous y allons je suis le bandit dans sa chandelle. Il pique, je pique aussi, il fait du vol à plat croyant profiter de sa vitesse. Je tire deux rafale je le touche, il fume noir. Mais horreur, c'est un 190... je n'y comprend rien, j'ai pourtant vu des marquages en cercle...

Puis un spit entre dans la dance... je coupe son virage nous nous percutons je vais au tas pas lui mais la flack lui regle sont compte peu après... Il y a une justice sur cette terre !

Lla bataille de Marcali a vu un encerclement de la ville réussir, mais ralenti du fait de la destruction du pont 171. Les combats n'y sont pas terminés. Une bonne moitié de la ville résiste encore.

La campagne de bombardement en palier de la KG55 supporté par la LG1 s'est soldée par la destruction de nombreux ponts, notament au Sud du front.

Les Typhoons ont encore fait des leurs au Nord du front.

Sur l'ensemble du front, plusieurs poches de résistances de la Wehrmacht se sont refermées, et des prisonniers ont été faits.

Comment cela va-t-il finir ?

 

Mission 11

La bagarre a vu de nombreuses pertes des deux cotés du front lors de ce chapitre 11, avant dernier de la campagne.

Au sol, plusieurs offensives ont eut lieu, et des deux cotés.

Front Sud :

Les Alliés ont poussés vers Öreglak M6 depuis le Nord et l'Ouest. La poussée de l'Ouest a été stoppée, mais celle du Nord a fonctionné.
Fonyod a été rejoint par des troupes qui ont traversé la dernière zone qui restait sous le contrôle bleu, visiblement abandonné par la Wehrmacht.
Avec leurs unités, les alliés ont poussé vers Pincehely S7 et Szorozade P6, et vadrouillé pour libérer la poche de Tamasi en rejoingnant
des troupes dans le secteur de Tab.

Des troupes blindées de la Wehrmacht ont poussé vers l'Est afin d'isoler les troupes dans ce qui devient une grande poche alliée, comprenant
Tamasi, Tab et Dombovar, dont la base n'est toujours pas sécurisé par aucun des protagonistes. Kaposfüred et Kaposvar sont maintenant les clefs
de la libération de ce Kessel Allié. D'autre part, le secteur clef de Balatonlette n'a pas été attaqué.


Front Nord :

De peties échaufourrés ont opposés les défenses alliés sur les différents axes menant à Bastogne à des troupes blindées,
pour l'instant en faible nombre. Une petite perçée alliée à l'Est d'Ajka a été contenue.
Au sol, le reste du front Nord n'a pas connu d'autres actions noitoires.


En l'air, le cirque Pinder alias la Luftwaffe a fait une représentation remarquable ! Par 3 fois, des appareils bleus ont été attaqués par des appareils bleus ! Bravo, deux avions mis hors de combat par leurs propres armes, fait d'arme indiscutable !

Autrement, les pertes ont été nombreuses dans chaque camp, et de nombreux combats aériens ont eu lieu tant au Nord qu'au Sud, notamment sur Vesprem, Siofok, Tapolca et à l'Est de Marcali.

Citons celui qui opposa les 262 à haute altitude avec de nombreux appareils ennemis :

Major Tempest, Me262A-1a - noir leader - Rotte avec Vylsain

Mission 1 : chasse zone de Marcali - réussi

Après 4 minutes de vol, 700km/h, nous effectuons un virage verticale N8 cap 180°. Après 30s, nous virons à gauche pour un 260°. Après 45s, nous avons visuel sur Marcali, et la route qui part plein Ouest en L6.

J'aperçois alors 2 contacts en formation serrée. Je pense qu'ils nous ont repéré, mais je décide d'engager rapidement avant que la chasse n'intervienne.
numéro 2 n'a pas visuel, mais mon large virage gauche nous replace dans leurs 6 heures. J'annonce 2 sur le numéro 1, leader sur le 2. Je vise le 2 et le touche. Il fait une embardée à droite. Je suis alors dans une bonne position pour engager numéro 1 dans la foulée. Je demande à noir 2 de reprendre le numéro 2 pendant que j'engage le 1 qui n'a pas encore bougé. Je tire, je le coupe. Noir 2 m'annonce que le 1 part se crashé. Généreux, je partage ces deux victoires.

Nous reprenons de l'altitude après un large caré : 90°, 180°, 270° puis 345° ce qui nous amène verticale Marcali...

Dans la zone nous atteignons 7000m+, et là commence la seconde mission.


Mission 2 : occuper la chasse ennemie haute altitude - réussi avec 1 perte du à ... Vyl tu expliques, c'est trop compliqué !

Nous effectuons de larges cercles pour être visibles. Nous sommes vus, et le combat va bientôt commencé. Vyl et moi nous organisons comme nous pouvons contre les 3 P51, rejoins par 2 P47 dont un sera endomagé par Vyl, et rejoint par les Spits. Le combat a lieu à 8000m et nous occupons bien la chasse adverse, c'est notre mission.

Puis Vyl engage et annonce qu'il saute. Est-il vivant ? Je ne sais pas.

Je suis maintenant seul. Je décide de continuer de grimper, jusqu'à 9500m, rejoint bientôt par 2 Spitfire dont un me fait une passe frontale que j'évite de justesse.

C'est est trop, avec 600L, je ne vais pas sauver la planète, mais mon avion.

Je pique, passe sous la couche, je ne peux pas être suivit.

Je passe au milieu du lac, entre P9 où les P47 étaient partis m'attendre, et P11, où il se déroule des choses pas très claires depuis le début de la mission.

Je me pose tranquilement en S12.

Après 7' au parking, la flak déclenche, je rentre m'abriter.

Les Jabos ne sont pas en reste, et effectuent un vol d'assaut dans différents secteurs :

(Oberst Touch) Groupe Rouge, Fw190A9. Touch, Bornos, Ice, IA

Décollage tranquille de P9 et cap Siofok. Nous croisons les 109 sur le lac. Je guide Bornos sur le pont 1 qu'il détruit sans difficulté, mais il coince ses volets durant la ressource.
Immédiatement Ice repère des départs de DCA à proximité sud immédiate du pont détruit. Il casse un Bofors pendant que je coupe le pont 2. Ice envoie son IA en attque sol : il plonge et casse un 3ème pont...

Bilan : 2 ponts (objectifs ) détruits, 1 DCA + 1 pont non ciblé.

Nous poursuivons en mettant cap sur Ajka pour renforcer le dispo Jaune /Vert.
Au passage sur Vesprem nous apercevons à travers les nuages nos DCA actives mais ne repérons pas les contacts.
Nous prenons donc position à 3000m sur Ajka et cerclons pour regrouper, notamment Bornos ralenti par ses volets.

Après quelques minutes nous sommes au contact : Ice engage un appareil qui tombe en BZ. Je suis en couverture. Ice tire mais... c'est un D9. Heureusement pas de dégât ! Un peu plus tard, la situation inverse se produit, c'est un D9 qui tire sur Ice !!! Je hurle sur tous les canaux cessez le feu... mais cette fois Ice a mangé. Je l'autorise RTB, il se pose heureusement sans problème.

Nous retrouvons les 109 au contacts de nos chars et les couvrons à 3000m. Tout est calme pendant près de 20 minutes.

Olaf isolé nous rejoint. Je renvoie Bornos à 3 min de la fin de la couverture sol car il est court carbu en raison de ses volets. Il rentre mais se fait descendre sur notre base par Friedrich ! Ca fait beaucoup pour une mission.

A 1 minute de la fin de la couverture sol, un contact est signalé sur les chars, nous plongeons. Hammel le stoppe avant, c'est un Typhoon isolé qui ne rentrera pas !

Nous effectuons RTB en premier pour couvrir les autres atterrissages mais je me fait choper par un P51 en maraude qui me prive d'ailerons. Du coup c'est moi qui sollicite de l'aide pour couvrir mon atterrissage. Notre DCA crépite par intermittence. Je m'y prend à plusieurs reprises avant de trouver une "fenêtre" pour me poser tranquille, mais sans ailerons !!!

Je me pose finalement en un impeccable 3 points tout au palonnier, ce dont je suis assez fier surtout compte tenu de l'état de stress provoqué par la présence d'ennemis au dessus de moi.

Mission plus qu'immersive, des remontées de bretelles à prévoir !

 

Mission 12

Les forces alliées et allemandes ont lancé dans la bataille de nombreuses forces.

Front Nord :

Une offensive alliée a été eradiqué au Sud et à l'Est de Bastogne. Cette bataille a entrainé la perte de nombreux blindés alliés. Elle visait Balatonszeped mais aussi à le contourner par le Nord.

Pendant ce temps, une offensive de la Wehrmacht y fit front, et Bastogne est maintenant aux mains de nombreux blindés allemands (PzIV, Wirbelwind, VIA et VIB) avec le support de très nombreuses artilleries. Les Panzers rentrent triomphalement dans Bastogne, et sa base aérienne ou un seul prisonnier est fait : Un Major "Tchaykaram" ainsi que de vieux P38 usés jusqu'à la corde.

L'unterfeldwebel Naxos pilotait un Fw190, et il débrief, satisfait :

Rouge 3, avec Ice en 1 et Bornos en 2. Section en FW190A-8, armée avec une SC500.

La 1ere partie de notre mission consiste à détruite 2 ponts routiers voisins de notre base de décollage en P9. Dés notre décollage nous sommes sous le feu de la FLAK ennemie. Bornos traite avec succés le 1er pont. Ice est touché par la FLAK et perd de l'essence. Perplexes quant à ses chances de poursuivre la mission trés longtemps, nous décidons qu'il larguera sa bombe sur le 2e pont avant de faire RTB pour sauver l'avion. Ice traite à son tour avec succés le 2e objectif. Je largue ma SC500 au dessus d'une forêt.
Ice prend la décision de poursuivre la mission tant que son réservoir le permettra.

Alors que nous prenons de l'altitude avant de nous diriger vers TAPOLCA pour protéger les Jaunes, nous les entendons annoncer qu'ils sont engagés. Nous sommes trop loin pour leur prêter secours mais nous sommes de suite rassurés par les messages indiquant que Hammel est dans la place et leur inculque le combat à l'énergie ...
A notre arrivée tout est fini et le ciel est vide d'avions. Commence alors notre patrouille au dessus de TAPOLCA vers les 5000m. La FLAK est présente et assez dangereuse.
Nous sommes sorti de notre léthargie par Tempest et Vylsain qui nous font peur avec leurs chalumeaux. C'est alors que nous détectons des P51 aux trainées. Les Me262 les engagent avec beaucoup de succés entre TAPOLCA et VESPREM. Nous essayons de récolter quelques miettes en la personne d'un P51 tombant en vrille ... J'attaque sans succés et je le perds de vue ...
C'est alors que je repère ce que je crois être un Spit. Je plonge et j'engage. Je le rattrappe vite sans être détecté. J'identifie un Tempest avant de lancer une rafale meurtrière qui abat Plekhov. Victoire confirmée visuellement par Ice dans mes 6. Après cet intermède nous retournons patrouiller sur TAPOLCA.

Le temps passe tellement lentement que la 2e vague arrive.
Alors que le décompte pour les attaques au sol est fini, insinuant une victoire bleue, Ed se trouve engagé sur TAPOLCA sans que nous puissions voir quelque chose. Aprés une victoire il finit par être abattu le long de la côte du lac et nous recommande fortement de déguerpir du secteur et d'aller nous poser pour sauvegarder nos avions. Nous faisons RTB ventre à terre en P9, bientôt rejoint par Daimler. Nous paniquons sur des nuages de FLAK qui en fait sont pour nous ...

Tout le monde se pose sereinement, Bornos faisant un belly landing car son train était endommagé par la FLAK ... 1h30 de mission. 2e objectifs distincts remplis. 2 ponts et un Tempest au compteur de la patrouille. RTB 100%. Leading impeccable et ailiers performants ... Que demander de plus ?



Près de Gyor, ce sont encore des Panzers (Panther) qui ont enfoncé le front au Sud Ouest de Gyor, coupant ainsi le ravitaillement à deux poches de résistance alliées. Menföcksanak est capturée.

L'Oberst Touch raconte :

Décollage et patrouille entre 7000 et 9000 m nous faisons des aller retours entre Tapolca et Vezsprem.
Nos trainées attirent et concentrent les combats : nous servons d'appât. Vylsain et Tempest récoltent ce qui tombe 3000 m plus bas.
Un moment les quatre 262 sont presque groupés car nous sommes descendus engagés par une paire de P47, mais nous arrivons dans le dos des Mustangs qui poursuivent Vylsain et Tempest. Je fais une seule passe très rapide sur un des poursuivants et le tire avec une très grosse déflection. Je le manque mais il part en vrille et ne se rétablit que bien plus bas... où Tempest et Vylsain le terminent.
Nous décidons de rentrer alors que les réservoirs affichent 300 l et que les témoins s'allument. Manfred subit un feu moteur lors de sa descente et se pose heureusement sans dommage en urgence sur la première base qu'il trouve (Vezsprem ?)
Je poursuis très calmement jusqu'en S12 où stationnent déjà Egon, Vylsain et Tempest.
Je me pose et roule au parking, coupe mes moteurs lorsque les 88 se mettent à tirer. Je déconnecte mais mon joueur est tué au même instant !

Mission accomplie : même sans kill, nous avons fixé la chasse ennemie en altitude, la détournant de la protection de ses avions d'attaque au sol. Nous avons provoqué la rupture des formations ennemies de P47 et P51, permettant ainsi à nos chasseurs de les neutraliser au niveau inférieur.

Le prometteur Obergefreiter Vylsain, auteur d'une très belle campagne pilotait au coté du Major Tempest en Me262. Voici ce qu'il décrivit :

Requin 2 ( groupe noir ) - Me262 - Interception

Nous décollons rapidement pour intercepter les chasseurs bombardiers adverses avant qu'ils ne puissent être couverts efficacement. La première difficulté arrive vite puisque due à sa mauvaise connexion, Tempest a énormément de retard sur Ventrilo (30 secondes environ) et fait des embardées de plusieurs centaines de mètres qui font que je le perd régulièrement. Malgré ce souci, nous parvenons à rester ensemble jusqu'à l'objectif. Je me réjouis de voir Hammel et Jaffar faire le boulot en bas. Lorsqu'ils sont brusquement engagés par les Tempest, j'ai visuel sur les tirs et je les signale à Tempest mais qui ne me reçoit à chaque fois que 30 secondes plus tard, une fois que la situation a changée. Je ne parviens pas à acquérir le visuel sur les bandits et me contente donc de suivre difficilement Tempest qui oscille toujours.

Tout à coup, Touch signale que leur paire est engagée à 9000 m et ils descendent en léger piqué tandis que nous nous écartons du secteur car nous voyons les trainées de condensation à notre verticale. Nous en profitons pour prendre de l'altitude.
Une fois le différentiel d'altitude compensé, nous revenons sur zone et croisons 2 P51 qui me prennent en chasse. Je fais la chèvre et Tempest parviens à s'intercaler entre le premier et le second P51 qui ne le voit d'ailleurs pas. Je m'arrange pour que le P51 est une trajectoire droite et légèrement montante et Tempest le découpe sans difficultés. Les 4 Me262 se sont rejoints. Alors que nous engageons le second P51 qui parvient à fuir, des P47 nous attaquent depuis très haute altitude mais Tempest qui est visé s'en sort sans dommages. D'autre part, je remarque que les spits et les Tempest grimpent juste en dessous pour venir à notre rencontre. Aussi rapidement que possible, je pique pour passer au dessous de leur horizon et tente une passe sur le leader qui me voit au dernier moment et bascule. Les obus le frôlent et il s'en tire avec un bon coup de sueur (Will).
Nous sommes alors forcés de nous séparer pour s'écarter et je constate en regardant derrière moi que 5 contacts me poursuivent. A ce moment là, nous sommes encore à 5000 m, je décide donc de me mettre en léger piqué vers Vezprem et les fait descendre tout en indiquant aux autres ma position.
Après quelques minutes, mes collègues me rejoignent et font rompre la formation ennemie.

C'est le tournant du combat puisque nous les séparons complètement. J'aperçois alors un P51 isolé et je lui tombe dessus, il me voit arriver et engage un virage gauche. Je ne tarde pas et anticipe sa trajectoire en me déportant sur la gauche pour pouvoir couper sa trajectoire en aval. Ça fonctionne et j'abats le mustang (Mojo). Les ennemis arrivent au compte goutte et la flak les rend facilement repérable. J'en spot un et à mon habitude, je pique pour passer au dessous de son horizon. Je l'approche par ses six bas et il m'aperçoit au dernier moment. Il (Redfox) tente une manœuvre évasive et part en vrille. Je parviens à le détruire malgré un tir plutôt médiocre en déflexion négative.

A peine le temps de rétablir l'assiette qu'un autre contact (Oscarbob) approche et croise Tempest. Alors que j'arrive sur lui, il exécute une ressource verticale qui le rend facile à abattre. Je lui coupe la queue .

La zone devient calme et on rassemble la paire, cap sur S12. On se pose avec une marge confortable de carburant. Manfred brule l'un de ses moteurs et se pose en urgence sur un autre aérodrome (bien joué au passage, posé un 262 qui crame n'est pas chose aisée). Touch se pose après Tempest et alors qu'il nous rejoint sur le parking, les 88 se mettent à tirer et je quitte au plus vite.

Les différentes formations ont travaillées ensemble, c'était la clef du succès... à en croire ce Diable de Vylsain...

Et voici un petit screen de l'atterrissage qui promet d'être suivit par une grande célébration : nous remportons la ville de Bastogne après ce merveilleux combat d'équipe !


Front Sud :

Les alliés ont supprimé la résistance des dernières unités de la Wehrmacht (Vese et Szenyer) et couvert de nombreuses routes pour libérer les poches. Les villes clef de Kaposvar et Kapösfured sont tombées. Les poches crées se sont évaporées d'elles-mêmes, car aucune unité Allemande ne s'y trouvait et rien ne pouvait les ravitailler. Toutefois, une poche tient encore, près de la ville de Öreglack.

Un assaut a aussi été mené en direction de la base de Siofok, rapidement stoppé par la destruction du pont 129.

La mission 12 s'est donc merveilleusement passé, nos tanks ont conquis Bastogne, et notre chasse a détruit 16 appareils pour la perte de 5 des notres. Un record, après la mission 8...

 

Merci à tous pour cette belle campagne...

 

Epilogue et cérémonie de remise des rubans :

Männer ! Le temps du souvenir débutait dès la fin des combats. Nous revivrons peut-être dans nos mémoires ces heures de force et de détresse, et lorsque vous regarderez ces rubans qui vous sont décernés, rappelez-vous de vos camarades avec qui, malgré l'adversité et les frères d'armes tombés, vous avez bâti cette triomphante victoire.

À l'appel de votre nom, avancez d'un pas et veuillez recevoir de la part de l'état-major dont je suis aujourd'hui le porte-parole, ce ruban de la campagne Wacht am Rhein :

 

Ruban échelon simple

Oberfeldwebel Blutch
Unteroffizier Weber
Obergefreiter Polia

 

Ruban échelon de fer

Hauptmann Egon
Leutnant Manfred
Feldwebel Tabo
Feldwebel Olaf
Obergefreiter Bornos
Obergefreiter Jaffar

 

Ruban échelon de bronze

Oberleutnant Wolf
Obergefreiter Friedrich

 

Ruban échelon d'argent

Oberst Hammel
Stabsfelfwebel Jo
Fahnenjunker Daimler
Unterfeldwebel Naxos
Obergefreiter Vylsain

 

Ruban échelon d'or

Oberst Touch
Major Tempest
Unterfeldwebel Ice

 

Ruban avec palmes (O.T.)

Hauptmann Edwald

 



 

   
           
   
   
           
   

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