Contact Actualités de l'escadre en 2010    
 

 

Le 30 décembre 2010
Citations pour services rendus
par Hptm Egon

 

Les pilotes suivants sont cités à l'ordre de l'escadrille pour leur investissement durant l'année 2010, la F/JG300 les remercient grandement:

 

Le Major Tempest, pour son investissement comme instructeur durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille. De plus, pour son investissement dans la création et la gestion de la campagne Wacht am Rhein durant l'année 2010, il est cité à l'ordre de l'escadrille et est décoré de la Médaille de Service en bronze pour sa 3ème citation.

L'Hauptmann Egon, pour son investissement comme Adjutant et sa gestion des carrières durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille. De plus, pour son investissement comme Officier Instruction et sa gestion de la Fliegerschule durant l'année 2010, il est cité à l'ordre de l'escadrille et est décoré de la Médaille de Service en bronze pour sa 3ème citation.

L'Oberfeldwebel Tabo, pour son investissement comme Spieß durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille. De plus, pour son investissement dans la création de missions historiques durant l'été 2010, il est cité à l'ordre de l'escadrille et est décoré de la Médaille de Service en bronze pour sa 3ème citation.

_________________________________________________________________

Les pilotes suivants sont cités pour la 2ème fois à l'ordre de l'escadrille pour leur investissement:


L'Oberst Hammel, pour son investissement dans le montage du serveur SEOW durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

L'Oberst Touch, pour son investissement comme OT durant la campagne Wacht am Rhein durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

L'Hauptmann Edwald, pour son investissement comme OT durant la campagne Wacht am Rhein durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

Le Leutnant Manfred, pour son investissement comme instructeur durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

Le Fahnenjunker Daimler, pour son investissement comme instructeur durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

Le Stabsfeldwebel Jo, pour son investissement comme instructeur durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

Le Feldwebel Naxos, pour son investissement dans la création de missions d'entraînements et historiques durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

Le Feldwebel Olaf, pour son investissement dans la création de missions durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille.

_________________________________________________________________


L'Oberleutnant Wolf, pour son investissement comme instructeur durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille et est décoré de la Médaille de Service en fer pour sa 1ère citation.

Le Fähnrich Ice, pour son investissement comme instructeur et dans la création de missions d'entraînements durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille et est décoré de la Médaille de Service en fer pour sa 1ère citation.

Le Feldwebel Hornisse, pour son investissement comme instructeur durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille et est décoré de la Médaille de Service en fer pour sa 1ère citation.

L'Unteroffizier Vylsain, pour son investissement comme instructeur durant l'année 2010, est cité à l'ordre de l'escadrille et est décoré de la Médaille de Service en fer pour sa 1ère citation.

 

Merci à tous !

 

Le 29 décembre 2010
Incorporation
par Hptm Egon


Nous accueillons le Flieger Yoyo qui rejoint notre escadre et intègre la Fliegerschule. Nous lui souhaitons la bienvenue !

-

 

 

Le 18 décembre 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon

 

Le mois de novembre, fut intense et certains accumulent un nombre de élevé de sorties, bravo pour cette participation. Le mois de novembre aura aussi vu l'escadre établir ses quartiers en Afrique du Nord près de Tobrouk où les combats font rage. Il faut tenir coute que coute la ville de Tobrouk. Le Geschwader-Stab et les Einstaz-Offiziere comptent sur vous !


L'Unterfeldwebel Naxos est présent dans l'escadre depuis plus d'un an et demi. S'investissant très régulièrement et étant devenu un pilier de la section "Opérations", il rejoint le statut des Unteroffiziere mit Portepee, les sous-officiers supérieurs de la Luftwaffe et est promu Feldwebel. Charge à lui de veiller sur nos jeunes pilotes et de les mener au combat. Toutes mes félicitations !

 

Les Flieger Wirbel et Taran sont promus Gefreiter après avoir réussit les cours de la A-Schule. Bravo continuez comme ça !

 

L'Obergefreiter Brennus, pour ses résultats au combat, est décoré de la Croix de Fer de 1ère classe. Bravo !

 

Le Stabsfeldwebel Jo et le Fahnenjunker Daimler sont décorés de l'agrafe de combat en or des chasseurs pour 100 missions opérationnelles. Félicitations à tous les 2 !

 

Le Feldwebel Olaf et le nouvellement promu Feldwebel Naxos sont décorés de l'agrafe de combat en argent pour 60 missions opérationnelles. Félicitations à tous les 2 !

 

L'Unteroffizier Bornos reçoit l'agrafe de combat en bronze pour 20 missions opérationnelles. Bravo !

 

Le Gefreiter Wirbel, est décoré de l'insigne des blessés en Fer, de même que le Feldwebel Naxos qui reçoit cet insigne pour la seconde fois.

 

Le 21 novembre 2010
Incorporation
par Hptm Egon


Nous souhaitons la bienvenue aux Flieger Breizh et Stoltz qui rejoignent l'escadre et intègrent la Fliegerschule.

-

 

 

Le 14 novembre 2010
Rapport de mission lors de l'opération Jubilée
par Hptm Egon

 

Rapport de mission du Schwarm Rote
_Schwarmführer: Hptm Egon
_N°2: Ogfr Wirbel
_Rottenführer: Fhj Daimler
_N°4: Uffz Vylsain

Nous décollons de St Omer en compagnie du groupe Noir du Feldwebel Olaf (Fw190-A3 JaBo). Nous devons rejoindre les Ju88 de l'Oberst Touch, qui ont pour mission, tout comme les JaBo, d'attaquer les navires ennemis. Nous grimpons à 3700m et nous dirigeons vers le Sud de Dieppe. L'Oberst Hammel annonce est aux prises de l'ennemi sur Dieppe au-dessus de 5000m. L'Oberst Touch contourne Dieppe par l'Ouest afin d'éviter les chasseurs, tandis que le Fw Olaf décide d'attaquer par l'Est. Le Ju88 de Touch lance son attaque tandis que nous sommes au Sud-Ouest de Dieppe. Malheureusement ses 2 moteurs sont stoppés net par la DCA des navires et il doit amerrir.

Nous rejoignons l'Obst Hammel sur Tricqueville. Je demande au Fw Olaf un point de situation, il vient de lancer son attaque et d'envoyer ses 3 ailiers IA à l'assault des navires. Il fait extension au cap 150°, visiblement sans être suivi. Je lui demande de changer de cap et de prendre un 220° pour que l'on se rejoigne. Entre temps j'ai demandé à Hammel de nous suivre pour faire jonction avec le Fw Olaf car il aura surement besoin d'aide. La situation pour Olaf change et il est suivit par des contacts. L'opérateur radar nous annonce que de nombreux contacts suivent les JaBos. Je lui demande de passer sous la couverture radar (<300m) tandis que j'amène mon Schwarm au-dessus de lui à 3500m pour couvrir sa retraite vers Tricqueville.
Les contacts ennemis s'égaillent et stoppent leur poursuite hormis 3 contacts que l'on suppose être les 3 IA d'Olaf qui tentent de le rejoindre.
Nous nous coordonnons avec Hammel pour intercepter des contacts non-identifiés, tandis qu'Olaf reprend de l'altitude sur Tricqueville.
Nous apercevons 2 contacts à 30Km à l'Est de Tricqueville mais ils disparaissent.
L'Obst Hammel annonce qu'il a besoin de ravitailler et retourne sur Tricqueville tandis que le Fw Olaf nous suit à distance en grimpant.

Pour nous aussi il nous faudra ravitailler, car la jauge indique 150L et il ne faudrait pas engager un combat avec moins de 100 litres de carburant... L'Uffz Vylsain dont la jauge est plus basse que nous, quitte la formation et part se poser pour ravitailler.
Du Schwarm Jaune, ne redécolle que l'Obst Hammel et le Ltn Manfred, son Rottenführer. Le Sfw Jo reste au sol sur un problème technique de son Me109.


2 contacts rapides que nous prenons en chasse

Vers 3500m Wirbel et moi apercevons 2 contacts sur la côté au Nord de Tricqueville, nous les prenons en chasse tandis que le Fhj Daimler nous couvre. Plein gaz nous descendons à 3000m, à ce moment ils commencent à descendre aussi, ils ont du s'apercevoir que nous les suivions.
Malgré notre vitesse de 630Km/h nous ne parvenons pas à les rattraper, nous poursuivons la chasse à 580Km/h en espérant qu'ils fassent demi-tour pour nous faire face, mais non.... Got Verdammt !


Déjà loin des côtes, nous poursuivons 2 P51.


Nous sommes à une soixantaine de kilomètre des côtes Françaises, sans couverture radar. Je décide de stopper la poursuite avant de nous retrouver en infériorité numérique, car ils ont du alerter leurs copains, et surtout sans suffisamment de carburant pour retourner sur Tricqueville pour ravitailler.


On vire gauche se mettre dans le soleil et faisons demi-tour



Nous faisons demi-tour et apercevons la côté à l'horizon. Nous faisons jonction avec Daimler sur la côté. L'Uffz Vylsain couvre le Schwarm de l'Obst Hammel qui a redécoller et qui se dirige vers Dieppe.


Vertical de Tricqueville


Etape de base...


Finale


Nous en profitons pour allez ravitailler puisque la piste est libre. Durant le circuit mon Rottenflieger, l'Obergefreiter Wirbel, m'annonce que son Fw190 surchauffe anormalement. Il se pose sans encombre mais ne pourra décoller.



Daimler au décollage croise Wirbel en finale !




J'ai 200L de carburant, je repars au combat et me dirige vers la côté, Daimler me rejoins

Le Fahnenjunker Daimler et moi-même re-décollons et nous dirigeons vers le Schwarm de l'Obst Hammel qui longe la côté vers Dieppe.


Nous nous dirigeons vers Dieppe à 350mm/4000m. Nous apercevons 2 contacts venant droit sur nous depuis la mer. Nous faisons Yoyo-Haut gauche après le croisement. Je retombe sur un des 2 Hurricanes qui serrent sont virage à gauche.



On croise une paire de contacts


Hurricanes !




Déflexion à 90°, une aile en moins pour ce pauvre Hurricane (Lt. Little, du GR-2/33). Le Fhj Daimler n'a pas d'opportunité de tir.


Je prépare ma déflexion...


Feuer Frei !




Ca tranche...


Abschuß !


Daimler: "Tu lui as tranché une aile !"


Ejection du Lt. Engel... Un prisonnier de plus


Un Spitfire a vu le combat et me prend en chasse...


Un bruit caractéristique me fait me retourner, un Spitfire vient de me croiser et prends mes 6H.




J'entends un bruit caractéristique...






Ciseaux


Au-dessus des falaises de la Haute-Normandie...


S'en suit des ciseaux dans le plan semi-vertical. Le Spitfire m'over-shoote...



Un deuxième Spitfire m'engage.


Encore...



Le Spifire suit toujours et j'aperçois des traceuses qui m'encadrent mais ne touchent pas. Je me rapproche du sol et passe sous la couverture
radar. J'annonce être engagé et faire extension à Daimler, cap au 225°. Le Spifire disparaît, je fais demi-tour et grimpe, Daimler me rejoint. Nous nous dirigeons vers le Schwarm Jaune qui est engagé avec des Hurricanes. Hammel et Manfred leur tienne la dragée haute. Nous les couvrons en orbitant droite au-dessus d'eux.

J'aperçois un contact qui passe dans l'alignement de Dieppe et du pare-brise de mon Focke Wulf, mais que disparaît aussitôt. Dans quelle direction allait-il ? J'ai à peine le temps de me poser la question que j'incline mon aile droite vers le combat que j'aperçois un contact qui se dirige dessus.



Un nouveau contact...


J'annonce attention un contact arrive. Il s'agit d'un Spitfire. J'effectue une passe dessus, mais sans résultats.


J'engage


Manque


Passe



J'amorce ma 2ème passe lorsque je vois le Spit engager un Me109 et lui couper une aile. L'Obst Hammel vient de se faire abattre.



Et Perd. Le Me109 d'Hammel perd une aile sous les obus du Spitfire


La rage au ventre, je fonce sur le Spit et lui coupe la trajectoire, j'enfonce la gachette et mon Fw190 tremble. Je relâche la gachette, le Spitfire ré-apparaît dans mon pare-brise martelé d'impacts.


J'engage de nouveau le Spitfire






Passe


Et gagne. Touché ! Mais ce n'est pas suffisant...


Daimler croise le Spitfire

Daimler l'engage à nouveau sans succès. Je vois le Spit qui ralentit et commence à descendre. Je suis dans ses 6h assez haut, et lui tombe dessus, et déclenche mes armes de bord, ma rafale impacte l'extrémité de son aile droite, tandis que je la frôle. Je remonte ensuite, le Spit se place au ras des flots.


Le Wulf fond sur sa proie...




Feuer




Boom !


&




Zoom ! La bête mortellement touchée essaye de mordre...


Le Ltn Manfred tente une passe, mais le pilote Anglais l'esquive...


De nouveau la bête montre les dents...


Il fait feu sur Manfred


La bête s'essoufle...


Le pilote tente un amerrissage


De là où je me trouve le Spitfire vole toujours, je m'apprête à lui donner le coup de grâce...


Je tombe à la verticale et vois une gerbe d'eau envelopper le Spitfire, je me rends compte qu'il vient d'amerrir.

L'Anglais largue sa verrière, jette son Dinghy et monte dedans. Le Spitfire coule rapidement.

Le pilote du Spitfire sera récupérer par une vedette de la Kriegsmarine, qui aura l'amabilité de remettre leur prisonnier à nos services de renseignement plutôt qu'à la Gestapo. Nous aurons l'occasion d'apprendre qu'il s'agissait du Wing Commander Harry Flower.

Le Fhj Daimler et moi-même rentrons, accompagné du Ltn Manfred, sur Tricqueville après 2 heures de mission.


Le 4 novembre 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon

 

L'opération Jubilée lancée par les Alliés continue, les combats faisant rage sur Dieppe. Néanmoins nos escadrilles infligent de lourdes pertes à l'ennemi, notamment nos avions d'assault Fw190 et Ju88 qui réussissent, malgré de lourdes pertes, à couler de nombreux navires faisant partie de la flotte de débarquement Alliée. Nos chasseurs Me 109 et Fw190 ne sont pas en reste et accumulent les victoires.

 

Ouvrez le ban !

Experten avec 159 victoires aériennes et 172 victoires au sol. Jagdflieger redouté en Fw190 et Schlachtflieger impitoyable en Me410 pour les tanks ennemis. Cité plusieurs fois à l'ordre de l'escadre dont 2 fois avec attribution de la Croix du Mérite de Guerre. Schwarmführer aux 168 missions opérationnelles ayant participé à toutes les campagnes de la F/JG300. Cet officier dynamique, membre éminent du Stab, s'est évertué à insufler depuis la création de l'escadre, un esprit combatif et fair-play aux pilotes qui ont volé à ses côtés. Le Major Tempest obtient la plus haute récompense dans l'Ordre de la Croix de Fer: La croix de chevalier de la Croix de Fer avec feuilles de chênes en or, épées et diamants.
L'escadre le félicite chaleureusement et est heureuse de compter un pilote de cette trempe dans ses rangs. Félicitations Major !

 

C'est avec une profonde émotion que l'Ordre de la Croix de Fer accueille en son sein un nouveau Chevalier:
Ce pilote a depuis deux ans participé aux missions sur de nombreux front : Tunisie, Sicile, Ardennes, Stalingrad, Normandie.
Breveté pilote de la F/JG300 en Novembre 2008, il reçoit l'agrafe de combat en argent pour 60 missions opérationnelles en décembre 2009. Le même mois, il est incorporé à la filière élève-officier. Aujourd'hui en passe de devenir leader de paire qualifié, il fait partie intégrante de l'équipe des instructeurs depuis plusieurs mois.
Sa citation à l'ordre de l'escadrille pour sa mission du 24 juillet 2009, durant laquelle il sauve plusieurs fois la vie de son leader de paire, illustre que ce pilote est indispensable au groupe tant au sol qu'en vol.
Le Fahnenjunker Daimler est aujourd'hui un as de la Luftwaffe avec 17 victoires et 18 cibles au sol, pour 94 missions opérationnelles.
Ainsi couronné de mérite, et pour son investissement auprès des autres, Fahnenjünker Daimler, veuillez recevoir cette septième Ritterkreuz décernées aux pilotes de l'escadre !

 

Les Obergefreiter Friedrich et Brennus reçoivent l'agrafe de combat en bronze pour 20 missions opérationnelles.

 

 

L'Obergefreiter Friedrich optient pour son asciduité et ses premiers résultats au combat, ses galons d'Unteroffizier, de même que l'Obergefreiter Bornos, qui a su dépasser par son travail, les difficultés qu'il avait rencontré à ses débuts, pour obtenir ses premiers résultats en opération. Félicitations, poursuivez vos efforts !

 

 

Par son habileté, l'Unteroffizier Vylsain reçoit une citation pour l'exceptionnelle moisson de victoires (22) remportées au cours du mois d'opération passé. Poursuivez ainsi et transmettez aux autres ce goût de la perfection !

Champagne !

 

Le 1er novembre 2010
Incorporation
par Hptm Egon


Nous souhaitons la bienvenue au Flieger Taran qui intègre la Fliegerschule.

-

 

 

Le 31 octobre 2010
Attribution de brevet
par Hptm Egon

 

Le Fähnrich Ice est breveté Marineflieger, à compter du 21 septembre 2010, après avoir satisfait aux épreuves de pilotage de l'hydravion Arado-196, de navigation maritime et aux qualifications à l'appontage.

Félicitations

 

Le 16 octobre 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon


Communication du Stab:

Nous avons remarqué que certains d'entre vous, font de sérieux efforts pour progresser et apprendre. Nous les engageons à poursuivre leurs efforts, certain qu'ils seront payants.

Nous sommes aussi conscient du travail, souvent effectué dans l'ombre et pas toujours visible mais nécessaire et apprécié, de certains pilotes qui s'investissent pour l'escadre, tant dans la création de mission, que dans l'instruction et la création de documents support, dans la gestion administrative de l'escadre et la création artistique. L'escadre ne saurait vivre sans l'investissement quotidien de ses pilotes, qui sans s'en rendre compte, font de l'escadre ce qu'elle est aujourd'hui, une escadrille dynamique, attrayante et conviviale.
L'escadrille n'est que la somme de l'investissement de chacun des pilotes, continuons tous ensemble !

 

Ouvrez le ban.

Le Feldwebel Hornisse est décoré de la Croix de Fer de 1ère classe pour ses résultats au combat. Il reçoit aussi l'agrafe de combat en bronze, pour 20 missions opérationnelles. Bravo.

Félicitations !

 

Le 15 octobre 2010
Incorporations
par Hptm Egon

 

Nous accueuillons les Flieger Wirbel et Thorvald au sein de la Fliegerschule. Bienvenue à vous 2 !

-

 



Le 9 octobre 2010
Bataille de France - Images du front
par Hptm Egon


L'Oberst Touch nous gratifie de quelques images d'une mission au-dessus de la France à bord d'un Ju87.

Extrait:
[...]
Soudain la jauge tombe dans le coma, le moteur cale, me voilà revenu à l'Oberalp en concours de planeur...
Je rends la main et prépare ma machine pour me poser en campagne. Je repère une belle prairie dans l'axe qui se termine par une cassure qui plonge dans la vallée, vers le rivière. Il va falloir être court ; je m'axe sur le village et j'amène le Ju à 150 à l'heure. Je touche délicatement le sol, mais mauvais surprise le terrain est en légère descente. Je suis debout sur le freins mais ils sont peu efficaces. La descente s'accentue et m'entraine. Je vois le village arriver bien vite vers moi. Au fait où suis je ? Proche de nos lignes, mais de quelle côté ?

Le Stuka ralentit à 20 km/h et finalement les roues plantent dans le sol meuble. La queue de l'appareil se soulève, je lâche les freins, le Stuka en équilibre hésite un moment et choisit finalement de se poser en douceur sur le nez plutôt que sur la queue, ce qui est une attitude bien moins élégante et valorisante vis à vis de villageois qui habitent ici.
Bornos qui me suivait s'aligne pour se poser et me récupérer, mais c'est le drame ; son approche semble parfaite, mais son avion se désintègre et explose dès qu'il touche le sol.
Je viens de perdre un camarade à cause d'une tentative de sauvetage.

Je vois alors un 109 qui effectue un passage bas en tonneau lent au dessus de moi ; il va se poser ? Non, il file à l'est ... et voilà les habitants du village qui arrivent en vociférant. Je repère parmi eux un type en uniforme vert de gris avec une serviette autour du cou et un morceau de poulet à la main... "Wie geht's ?" me lance le Feldgendarme. Je me suis posé du bon côté de la ligne.

Oberst Touch



 

Le 8 ocotobre 2010
Récit d'une mission lors de l'opération Jubillée
par Ogfr Friedrich

 

Triqueville, aux aurores le 19 août, la brume monte doucement de la piste en herbe, noyant la base et les avions dans une lumière bleutée. L'air est vif mais contient en lui la promesse d'une proche douceur. C'est un de ces matins annonciateurs d’une belle journée, une journée idéale pour voler....ou se faire tuer. En m'approchant de mon '109 je ne peux m'empêcher de sourire en pensant au briefing, le Schwarmfuhrer nous a fait un numéro comique - bien involontaire - sur les fréquences radios, ça a eu le mérite de détendre l'atmosphère.
Du coup les nouvelles en provenance du Kanal prennent un ton moins inquiétant, surtout pour moi, je suis un des moins expérimenté du Schwarm et j'ai la peur au ventre même si j'essaie de ne pas la montrer aux Alten Hasen que sont l’Oberst Hammelmann et le Leutnant Manfred qui ont l'air aussi serein que si ils partaient en virée sur Unter den Linden.

Mon mécano m'aide à me straper dans mon cockpit étroit. N'ayant pas un gros gabarit, je suis bien dans cet avion... je plains sincèrement les grands!. Je fais mes vérifications, je les fait très soigneusement, une façon de me conditionner pour l'action, la certitude de ne négliger aucun détail - aussi infime soit t’il - qui puisse m'être fatal au moment où la faucheuse vient chercher sa glanée. Je n'ai pas la tranquille assurance des Experten, l'expérience qui donne une certaine confiance, malgré mes quelques victoires je ne suis vraiment fier que d'une seule, la victoire d'être pour l'instant resté en vie et celle-ci n’est jamais vraiment acquise.
Alignés sur la piste, on attend le signal pour mettre en route, le silence de ma cabine est troublé par les crissements du cuir de mon blouson de vol et par les cliquettements et bourdonnements de mon chasseur que j'amène doucement à la vie. Kontact! Mise en route, le Daimler-Benz s'éveille et rugit, on dirait un fauve affamé. On fait chauffer les moteurs,
on se décale sur l'axe pour libérer la vue masquée par le nez de l'avion, on se réaligne, les volets, lumière cockpit, moteur chaud, les aiguilles dans le vert et on lâche les freins.

On grimpe dans la lumière de l'astre du jour qui nous fait un splendide lever de rideau sur le drame qui va implacablement se jouer. D'après le contrôle d'interception, tous les acteurs sont déjà en place, les anglais ne plaisantent pas avec le théâtre. Pour la énième fois, je m'émerveille de la beauté et de la finesse de la création de "l'oncle Willy" Le spectacle de ces quatre superbes oiseaux en formation dans la gloire du petit matin ferait presque oublier que ce sont avant tout des machines de mort chargés de balles et d'obus pour tuer et détruire.
Aux commandes, c'est un délice: rapide, grimpant au ciel plus vite qu'une âme de saint, souple aux ailerons, peut être pas autant que le FW 190 mais suffisamment pour échapper à un bandit mal disposé à votre endroit. J’aurais du être transformé sur FW si j'étais resté sur Creil, mais finalement j'ai suivi la staffel, ici près du Havre. J'étais soulagé à plus d'un titre : d’une part je connais mal le FW190, il me fait un peu peur car je sais qu'il pardonne moins que le Messerschmidt ; de plus avec son mufle énorme et sa profondeur chatouilleuse, il décroche et part en vrille si on souque de façon trop virile et il est encore moins docile aux basses vitesses ; en revanche il présente des avantages pour un novice, notamment un armement plus que conséquent qui découpe proprement la cible qui se trouve dans le "Revi" et un train à large voie qui le rend plus facile et moins dangereux à poser. D’autre part j’étais content de ma venue ici pour des raisons un peu plus personnelles.

Les contrôleurs d'interception et les radars associés sont très efficaces aujourd'hui, on rejoint sans problème sur les ‘190 d'Abbeville menés par le  Major  Tempest avec lesquels on s'étage pour former un dispositif cohérent. Enfin, même moi je m'étais étonné de notre position intermédiaire avec des ‘190 au perchoir, c'était plutôt notre place eu égard aux performances respectives de nos machines, l’Oberst (son grade le lui permet) ne s'est pas gêné pour dire le fond de sa pensée, mais ça n'a pas ému grand monde. Dans notre Luftwaffe la fonction prime vraiment sur le grade.

En tout cas ce qui est sûr c'est que la provenance des échos sur la mer ne laisse aucun doute quand à leur identité et à priori sur leurs intentions. Le leader prend le cap d'interception et il ne s'est pas écoulé plus de quelques minutes lorsque l'ordre de dégager retentit dans mes écouteurs, on s'est fait coiffer…et par des « Spits' » en plus! Moi je n'ai rien vu venir, j'avais
les yeux rivés sur mon leader, j'essaie de le suivre et surtout de suivre ses consignes. Si je l'écoute, j'ai une chance de survivre, si je cherche à m'enrouler avec eux, je finirai comme tant d'autres qui se sont crus plus malins ou qui voulaient absolument ramener un scalp, plus que tout, au mépris de toute prudence.
J’ai piqué droit dans les nuages et semé mon ou mes poursuivants, avec force précaution je m'assure de m'être dégagé de leurs griffes, ce n'était pas l'heure - pas encore - je reprends le visuel de mon  Schwarm  aux prises avec les Indianers et je rejoins juste au moment ou Hammel exécute un « Spit » en haut d'une évolution verticale, et d'un! Il est couvert par Manfred qui m'a suppléé, je pense que je vais avoir droit à une explication de gravure ce soir, si j'en reviens.

On reforme, on est plus que trois, le malheureux !je ne le connaissais même pas, il venait à peine d’arriver qu’il était au tableau des missions, sans avoir défait ses bagages. Le manque d’effectif, conjugué à la pression exercée par les alliés nous pousse à envoyer des jeunes à l’abattoir, quelle tragédie.
C’est décidément, pour l’instant du moins, une très mauvaise pièce, je croyais les anglais adeptes de l’humour pince-sans-rire je les découvre friands du comique de répétition. Je dis cela car à peine quelques minutes après avoir repris le cap d’interception, nous sommes à nouveau coiffés par ce que je crois être encore des « Spits » et ce coup ci, je suis pris sous le feu de traceuses rouges et j’entends des impacts sur mon avion, ce doit être du petit calibre. Je tente des évasives : piqué négatif suivi de montée au taux maxi pour le semer, surtout ne pas enrouler. La manette des gaz est en butée avant, je me rappelle les consignes «  ton F4 ne chauffera pas, alors reste plein gaz et distance tes poursuivants, tu es plus rapide » Une fois de plus la qualité de notre entraînement et surtout celle de nos cadres font la différence. Je me tire une fois de plus d’affaire – ça fait deux fois déjà en moins d’une demi-heure - j’espère que je ne suis pas en train d’user tout mon capital chance !

Je fais le tour de mes cadrans et de la partie de mon avion qui m’est visible, rien d’important n’a été touché, je peux retrouver mes deux équipiers. Il semblerait que Hammel ait encore prélevé sa dîme sur les chasseurs adverses, quel contraste : j’essaie péniblement de rester en vie et lui enchaîne les victoires comme d’autres les bières au mess. Une fois de plus il a du se passer de ma protection, quel piètre ailier je fais.
La suite devient plus floue dans mon esprit, la succession d’actions fusionne en une longue séquence. Après avoir reformé, en plein virage du  Schwarm  je signale 2 contacts même niveau puis d’autres contacts nous tombent encore dessus. On distingue des bandes blanches sur le « olive drab » du fuselage on crie « P-51 » Non encore des « Spits » !

Ce coup ci je ne perds pas Hammel qui part en VAD et on s’empresse de prendre du champ car selon ses propres dires : « c’est malsain, y’a trop de monde ici ! » On se retourne et la mêlée de Focke-Wulf et de bandits d’où s’échappe des traceuses bleues et rouges nous saute au visage. Mon leader s’intercale entre deux bandits et en le suivant je me retrouve dans les six de l’un d’eux, bien placé et non seulement il ne m’a pas vu, mais en plus je le rattrape.

Aligné derrière lui j’ouvre le feu par courtes rafales, il se dérobe, mais je ne le lâche pas, je le touche, enfin je crois, non j’en suis sûr, j’ai vu des impacts sur l’aile gauche du coup je suis obnubilé par ma cible, mon leader essaie de me reprendre, je n’écoute plus, je devrais. A défaut de sa voix c’est l’explosion d’un 20mm qui me ramène à la réalité. Mon avion déclenche sur la gauche, Mon Dieu, je dois avoir perdu une aile, je n’ose regarder, je devrais. Ca vole toujours, je ne sais comment, un moment de flottement, je finis par regarder. Il y a un énorme impact en bout d’aile et l’avion continue d’embarquer à gauche bien que je sois sorti du piqué dans lequel je m’étais inconsciemment lancé. Je prends vaguement un cap sud, je suis encore en vie et plus personne ne me poursuit.

J’ai chaud, je ruisselle de sueur, j’ai mal aux oreilles suite à mon piqué, mon estomac se révulse et j’ai un goût de bile à la bouche mais je suis vivant. La vitesse du ‘109 m’a encore tiré d’affaire. Contact radio avec Hammel et Manfred, on fait le point : je ne suis plus en état de combattre et eux vont être court en carburant et munitions, surtout Hammel qui en a fait bon usage en oblitérant 3 avions ennemis. Mon piqué dans la bonne direction m’a sauvé et le contrôleur d'interception me donne un vecteur et une distance pour essayer de rentrer au bercail.
Il n’est point de bonne compagnie qui ne se quitte et « visiblement » la brume qui était si belle au point du jour n’a pas eu cette éducation et a choisi de s’attarder malgré les appels pressants du soleil. Tout ça pour dire que j’entends les deux briscards qui m’ont précédé faire de la divination pour essayer de localiser notre si beau et si champêtre aérodrome. A 100m du sol cela devient un exercice intéressant, du moins je le trouverais intéressant si je n’avais pas un ‘109 avec la voilure en dentelle et le « trouillomètre » en butée maxi, tout le contraire de ma jauge à carburant. Nous voilà embarqués dans un carrousel qui ne semble jamais finir, on croit apercevoir le terrain et il se dérobe le temps que l’on cherche un circuit, un plan de descente, un axe…n’importe quoi pour pouvoir atterrir ! C’est trop bête d’avoir échappé aux « Rosbifs » pour finir en confetti sur le seuil de notre piste trop bien camouflée. J’en ai marre, j’ai presque envie d’en finir et d’évacuer l’appareil, c’était une telle joie d’être en l’air tout à l’heure et voilà que c’est devenu un supplice que j’ai envie d’abréger par n’importe quel moyen.

Au moment ou je vais perdre tout courage, le contrôle Jäfu  en coopération avec les unités en mer signale à la base que le bandit que j’avais touché s’est abîmé en mer. Abschuss ! Je ne sais pas trop comment ils ont réussi à déterminer ça mais apparemment ça ne souffre aucune discussion et j’imagine mon mécano en train de préparer la peinture pour remplir un peu la dérive de mon « ‘Mess ». C’est inespéré à plus d’un titre, j’ai non seulement réussi à abattre un bandit mais en plus ça me regonfle et me remotive pour réussir à atterrir. Allez, j’ai réussi à trouver l’axe selon les indications de Hammel et je me présente, trop long, remise des gaz ! Tant pis, il me reste un peu de carburant on assure la prise de terrain. J’ai pu visualiser un semblant de vent arrière dans la brume, je fais un circuit court à basse vitesse car j’ai tous les éléments sortis et basse altitude pour garder le contact visuel.
C’est un pari risqué mais je le prends en connaissance de cause : je suis obligé de rester bas pour pouvoir voir la piste et du coup je dois avoir les bons paramètres instantanément car j’aurai le plan et l’axe au dernier moment. Pari gagnant, j’effectue un atterrissage comme en fait pas souvent dans sa vie de pilote, en tout cas celui-ci restera dans ma mémoire. Un « Kiss-landing » comme disent les  Amerikaners  je crois, j’ai en tout cas l’impression bien réelle d’embrasser le sol à nouveau alors que mon avion perds doucement de la vitesse et que je me dirige vers les hangars et les mécanos qui courent dans tous les sens.


Manfred se pose à son tour et la mécanique débute un ballet qui consiste à réarmer et réapprovisionner les avions pendant que nous restons assis aux commandes. Les bruits des moteurs qui refroidissent sont couverts par les ordres des chefs d’équipes. Je suis toujours en nage et j’ai ouvert ma verrière à temps pour voir grimper sur l’aile l’autre raison qui m’avait fait préférer la base du Havre : la jolie  Helferin  brune qui me sourit en me tendant une tasse de thé et un morceau de chocolat, on s’est connu à Creil où elle était marqueuse en salle d’opérations et nous avons eu la chance d’être affectés ensemble ici. Toute la base le sait, mais comme nous sommes discrets, personne n’y trouve rien à redire.
Elle a un grand sourire, elle est heureuse de me voir, elle sait que j’ai abattu un ennemi, elle l’a entendu dans la salle des ops’, elle nous a également entendu chercher la piste et essayer d’atterrir malgré la brume, elle a entendu ma voix qui a du avoir les accents de la panique par moments. Alors, elle s’est dit qu’un peu de thé et de chocolat me ferait plaisir avant de repartir et à ce moment sans rien nous dire, alors que nous sommes les yeux dans les yeux, nous savons que nous pensons à la même chose. Peut être qu’à ce moment précis de l’autre côté de la manche une WAAF avec une tasse de thé qui refroidit attends en vain qu’un avion revienne. Je n’ai même pas l’apaisement de me dire que c’était lui ou moi, il ne m’a peut être pas vu à aucun moment.

Mon mécano rompt le charme, l’avion est réarmé et les pleins faits mais il me désigne mon bout d’aile gauche avec une grimace, irréparable immédiatement. J’en avise mes deux équipiers et c’est avec un mélange de honte et de soulagement que je les entends me dire de rester au sol, c’est fini pour moi pour aujourd’hui, j’ai survécu.
Le soulagement, je n’aurai pas à redécoller de cette maudite piste noyée de brume et mal signalée, paradoxalement ce n’est pas la peur du combat, je l’ai surmontée et j’ai fait couler le sang. Je le referai demain s’il le faut et tous les jours de survie que je gagnerai, mais là je ne veux plus voler car je ne sais pas si je pourrai atterrir de nouveau aujourd’hui, mes nerfs sont à bout.
La honte, je les vois redécoller sans hésitation pour aller courir sus aux rares anglais assez fous pour faire du tourisme sur notre territoire de chasse. Ils ont beau me rassurer et me dire que je fais bien d’en rester là avec les dégâts qu’a subi mon avion, j’ai honte de les abandonner.
Les mécanos se retirent et me laissent me calmer dans mon cockpit alors que les tremblements me prennent La descente d’adrénaline est douloureuse. Je vais rester là et attendre de pouvoir sortir et marcher jusqu’à la salle des pilotes.

Je suis la fin des combats à la radio alors que je vois le brouillard enfin se lever. J’entends le Major Tempest s’annoncer pour le terrain, il est à court de munitions et carburant à son tour et quelques minutes plus tard j’entends son moteur et le voit se poser et vite gagner l’aire de service. Il presse les mécanos d’aller plus vite, je crois même qu’il est à deux doigts de descendre de son avion pour faire le plein lui-même. Il commande les ‘190 d’Abbeville et je crois qu’il n’a pas eu son content de bandits pour aujourd’hui. On dit de lui que si on lui donnait assez de bombes il irait couler l’Angleterre tout seul.
A le voir redécoller rageusement sa machine – cavalier d’apocalypse sur sa monture - je mesure tout ce qui peut séparer deux pilotes , l’un ne tenant debout que par instinct de survie et l’autre qui a banni jusqu’au mot « défaite » de son vocabulaire. Qui de nous deux s’en remettrait si nous devions perdre cette guerre ? Que deviennent les hommes comme le Major quand survient la paix ?
Je me suis fait tout petit dans le cockpit pendant ce temps là, j’avais trop peur qu’il m’ordonne de redécoller malgré tout.

La pièce s’étire en longueur et le public commence à s’ennuyer à commencer par les contrôleurs qui trouvent quand même le moyen de donner un dernier gibier en pâture aux chasseurs encore en l’air. C’est l'Unteroffz.Vylsain qui va sonner l’hallali et il ne faut pas être devin pour savoir ce qu’il va advenir de cet égaré ou inconscient, le tir de Vylsain ne pardonne pas et il l’exécute, probablement d’une courte rafale. Voir ce pilote à l’œuvre est fascinant, il tue proprement et vite, le gibier n’en réchappe pas mais au moins il ne souffre pas, contrairement à d’autre pilotes brouillons qui blessent seulement et doivent attendre que le rabatteurs leurs rapportent les preuves de leur imprécision au tir…comme moi.

Les chasseurs/acteurs rentrent et l’Oberst nous fait un atterrissage …de Colonel, normal. Fatigue et tension du combat sans doute. On peut commencer à faire le bilan de la journée et parler de la représentation. Les fils des Telex et des téléphones chauffent pour donner un premier compte – approximatif- des pertes et victoires. Il semblerait que nous ayons encaissé le plus gros d’un assaut amphibie soutenu par les bombardiers et couvert par la chasse. J’apprends à l’occasion que mon « P-51 » devenu « Spit » était en fait …un « Hurricane », je comprends que le Spiess  s’arrache les cheveux avec nous et nos revendications de victoires. Il va encore nous tanner pour des séances forcées d’identification d’avions ennemis et je ne pourrai pas y couper. Il faut dire que dans le feu de l’action ; c’est vert avec des cocardes , ça tire rouge et sur nous : on discute pas, on tire aussi, on pose les questions à la fin, surtout avec des vitesses de rapprochement de 1000 km/h.
Dans cette vaste opération où nous n’avons pas eu l’initiative, je me suis senti comme un minuscule rouage d’une grosse machine de destruction, sans aucune vue d’ensemble, du coup j’apprécie de pouvoir débriefer à chaud avec l’ensemble des unités qui on été engagées aujourd’hui. J’ai également appris que mon ami Naxos avait été descendu dans son FW je ne comprends pas comment, c‘était un pilote expérimenté et prudent, on parle de péché de gourmandise….comme quoi ça peut arriver à tout le monde. Il avait été l’un des premiers à m’accueillir dans l’unité, ça disparition me touche d’autant plus que si j’avais volé sur FW, nous aurions sûrement été ailiers, peut être aurais-je été tué avec lui, peut-être à sa place, peut être l’aurais-je sauvé…

La nuit est tombée, je sors du mess enfumé et bruyant pour aller enfin me coucher, nous avons célébré nos victoires, pleuré nos morts, le tout à notre manière et en ayant bien conscience que demain tout recommence. En passant je regarde si sa chambre est encore éclairée, mais non elle doit dormir depuis un moment, elle sait qu’après un combat, les pilotes ont besoin de rester ensemble pour exorciser la peur et le sort. Elle s’est endormie en me sachant rentré et pour autant qu’elle sache c’est tout ce qui compte.

Obergefreiter Friedrich

 

Le 20 septembre 2010
Luftkriegschule - Qualification Rottenführer
par Hptm Egon


Je suis heureux de vous annoncer que le Fahnenjunker Ice vient de valider sa qualification de Rottenführer débutée il y a tout juste 1 mois. Nous avons donc un nouveau chef de Rotte au sein de l'escadron.

En conséquence le Fahnenjunker Ice est promu Fähnrich avec effet immédiat.

 

 

Félicitations Fähnrich Ice !

 

Le 16 septembre 2010
3 ans...
par Hptm Egon

Le 16 septembre 2007, de la volonté de progresser, est née la F/JG300.

Une nouvelle aventure pour des pilotes qui repartaient de zéro. Pas de structure, pas de forum ni de site internet, pas d'école de pilotage. Seul l'enthousiasme, la rigueur et 17 pilotes motivés par la volonté de progresser individuellement et surtout collectivement.

Aujourd'hui l'escadrille a fait du chemin et si l'on regarde en arrière on peut tous être fier du travail accomplit, mais faire vivre une escadrille est un challenge quotidien et rien n'est jamais gagné d'avance. Chacun à son niveau peut apporter sa contribution, les possibilités sont variées, tant dans l'instruction, la création de missions, les créations graphiques, l'informatique et les logiciels, la rédaction de documents, ou encore une participation régulière teintée de bonne humeur.

Aujourd'hui l'escadrille compte 25 pilotes actifs, 2 en formation et 5 en permission. Au total 53 pilotes font ou ont fait partie de la F/JG300.

Aujourd'hui l'escadrille vient de fêter ses 3 ans.


Longue vie à la F/JG300 !

 

Le 12 septembre 2010
Pilote breveté
par Hptm Egon


Le Gefreiter Brennus, pour avoir validé ses cycles de la B-Schule, reçoit ses ailes de pilote et est versé dans le Staffel opérationnel comme Rottenflieger. Il promu au grade d'Obergefreiter.

Bravo Brennus, payes ton coup et pas du cidre stp !


Le 11 septembre 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon


Base de Rheine, 08h00 locale, communication des Kommandeurs.

Messieurs,
En cette fin de période de permission, j'espère que vous vous êtes bien reposé. L'offensive sur le territoire Français débutera dans les jours prochains alors je compte sur vous pour être prêt au combat. Dès que nous recevrons nos ordres de mission nous vous en informerons, d'ici là entrainez vous sérieusement, l'ennemi ne fera pas de cadeau.

J'en profite pour vous annoncer que:

L'Obergefreiter Vylsain pour sa participation, son investissement comme instructeur et son ancienneté est promu au grade d'Unteroffizier.

 

L'Unteroffizier Vylsain est de plus décoré de la Croix Allemande en or pour ses résultats au combat. De l'agrafe de combat en bronze pour 20 missions opérationnelles effectuées.

De plus l'agrafe d'honneur en bronze lui est décenée pour 5 appareils ennemis abattus lors d'une même mission: Lors d'une mission au-dessus de la France le 6 août 2010, aux commandes de son Me109-E3, il détruisit 1 chasseur MS410 et 4 chasseurs Hurricane.

 

Le Gefreiter Brennus, est décoré de la Croix de Fer de 2ème classe pour ses résultats au combat.

Félicitations, ça s'arrose...!

Le 9 septembre 2010
Retour d'un pilote
par Hptm Egon


Après une longue absence de plus d'un an, le Flieger Kurt est de retour parmis nous. Re-bienvenue Kurt !

Le 8 septembre 2010
Pilote breveté
par Mjr Tempest


Le Gefreiter Rayme, pour avoir validé ses cycles de la B-Schule, reçoit ses ailes de pilote et est versé dans le Staffel opérationnel comme Rottenflieger. Il est à l'occasion promu au grade d'Obergefreiter avec effet immédiat.

Un grand bravo, maintenant, tu nous payes à boire !


Le 28 août 2010
Campagne de France 1940 - Images du front
par Hptm Egon


Quelques photos de l'Oberst Touch, durant une mission au-dessus de la France:

 


Le 23 août 2010
Départ
par Hptm Egon


Le Flieger Falke se retire du service actif, nous lui souhaitons bon vol et bonne chasse dans les cieux d'IL2.


Le 22 août 2010
Luftkriegschule
par Hptm Egon


L'Unterfeldwebel Ice, ayant démontré des qualités de leader et partagé son expérience en tant qu'instructeur au sein de la Fliegerschule, intègre la Luftkriegschule, afin d'y suivre les qualifications au commandement. Il prend le grade de Fahnenjunker pour y suivre la qualification de Rottenführer.

 

 

Le 8 août 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon


Sur la base de Rheine tout est calme. On entends parfois le sifflement des moteurs Daimler-Benz des avions qui décollent et atterrissent, pilotés par les instructeurs et leurs élèves. Puis tout redevient calme, à croire que la guerre s'est arrêtée.
Les pilotes d'alerte assis sur des chaises longues posés sur l'herbe sèche, finissent par s'endormir sous les rayons du soleil, faute "d'Alarmstart". Nous attendons mais le ciel est vide et les Indianners ne viennent pas. Seraient-ils en vacances ?
Tant et si bien que pour nous aussi c'est les vacances, ambiance détendue. L'Oberst Hammelman a adopté une chêvre, que l'on arrête pas d'entendre, ce qui provoque de franches rigolades...

Certains l'auront remarqué, les promotions se font rares ces temps-ci. Point d'oubli de la part de l'Adjutant, qui veille au grain à chaque fin de mois. Il s'agit en fait de donner à chaque promotion plus d'intérêt, plus de prestige en augmentant l'ancienneté nécessaire et la participation aux missions. L'investissement au sein de l'escadrille et votre progression en pilotage sont aussi pris en compte.

Ouvrez le Ban !

Il fait partie des pilotes qui s'investissent beaucoup pour l'escadrille, même si ce n'est pas toujours visible, masqué derrière les dossiers qui s'empilent sur son bureau. Chaque fin de mois c'est la course pour traiter les rapports de mission: 22 pilotes multiplié par le nombre de missions effectuées chaque mois... Il est des pilotes qui passent plus de temps derrière leur bureau que dans un cockpit.

Le Feldwebel Tabo, pour son investissement comme Spieß auprès de l'escadre et son ancienneté, est promu au grade d'Oberfeldwebel.

 


Le Flieger Brennus est promu Gefreiter après avoir finit la A-Schule, bravo ! A croire que l'ancien mécano qui rafistolait les moteurs de nos appareils il y a encore peu, était fait pour devenir pilote !

 

 

L'Unterfeldwebel Ice ainsi que les Obergefreiter Vylsain et Plekhov sont brevetés Düsenjäger, bravo !

L'Unterfeldwebel Ice et l'Obergefreiter Vylsain sont brevetés Schlachtflieger, encore bravo !

 

 

Félicitations aux promus et décorés !

Hptm Egon, Adjutant F/JG300.

 

Le 17 juillet 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon

La F/JG300 a pris ses quartiers d'été à Rheine, sa base d'origine en Basse-Saxe. Après une rude mais belle campagne dans les Ardennes Belges, les hommes et les machines peuvent souffler un peu.
Une ambiance particulière règne ici, à la fois calme et joyeuse mais dans le même temps une petite appréhension se fait sentir. L'appréhension de savoir si les permissions seront acceptées ou pas...

C'est après avoir annoncé à notre Spieß que sa permission était accordée, que je l'ai emmené Tabo à la gare. Il rejoint sa famille établie en Suisse depuis le début de la guerre. Il va pouvoir laisser les rapports de missions derrière lui et respirer l'air frais des montagnes... L'Ufw Naxos lui préfère le bord de mer en Turquie, mais c'est pour y rester bien plus longtemps...

Le Mjr Tempest, est parti en stage de survie pour pilote éjecté dans les lignes ennemies, gageons qu'il n'y prenne pas goût et qu'il ne s'engage pas dans la Heer...

Les Oberst Hammelman et Touch quant à eux, nous envoient une photo prise lors d'une réunion d'état-major à Berlin et vous saluent bien:


ah ben en fait je suis pas sur que ce soit a berlin...

 

L'Hptm Egon, reste à la barre, et s'occupe de rédiger les demandes de décorations, qui viennent juste de recevoir une confirmation par Telex:

 

Les Feldwebel Olaf, Unterfeldwebel Naxos et Ice recoivent la Croix Allemande en or pour leurs résultats au combat. Félicitations messieurs !

 

L'Obergefreiter Vylsain reçoit la Croix de Fer de 1ère classe. Bravo !

 

L'Obergefreiter Jaffar reçoit la Croix de Fer de 2ème classe. Félicitations !

 

L'Hauptmann Egon reçoit l'agrafe d'honneur en fer, pour avoir détruit en combat aérien, le 25 juin 2010 au cours de la même mission, 4 chasseurs La7 avec son Fw190-A9 sur Kurland. Félicitations !

 

Les Flieger Brennus, Plekhov et Raven rejoignent nos rangs et les bancs de la Fliegerschule. Bienvenue à vous 3!

-

 

 

Félicitations aux nouveaux décorés et bonnes vacances d'été à tous !

Hptm Egon, Adjutant F/JG300.

 

Le 25 juin 2010
Conclusion de la campagne Wacht am Rhein
par Mjr Tempest


L'ensemble de l'escadrille était réunie devant nos hangars. Dans notre dos, en vis à vis et de trois quart, un Fw190D9 de la I/JG2 et un Me262 de la II/KG51 se faisaient face. Au loin, le ronronnement d'un DB605 ajoutait à solenité.

Le Major commença ainsi sont exposé :

" La contre-offensive n'aura duré que quelques semaines. Les unités affaiblies par le combat sont maintenant entrées dans Bastogne à l'issue d'une bataille sans mercie.

Après un encerclement réussi de ce qui sera appellé "la poche de Bastogne", les Alliés ont repoussé à plusieurs reprises les assauts des puissants Panzer, eux-mêmes alors appuyés par l'artillerie et l'aviation tactique. L'assaut a été répété et finira, nous le verrons, par réussir.

Plusieurs escadrilles ont en effet participé à cette opération "Wacht am Rhein" et parmi elles, la JG1, 2, 4, 6, 7, 26, 54 et 300, la SG4, la KG51, la LG1 et la KG76.

Cette campagne aura vu l'apparition des premiers Jets comme les Me262 ou les Ar234, mais ne laisse pas occulter l'action des bons vieux Bf109 ou Fw190 de tous modèles.

Un groupe a été particulièrement remarqué, et s'est illustré au cours de nombreuses bataille : celui de pilotes attentifs et volontaires, s'appuyant les uns sur les autres. Ces pilotes là causé la perte de nombreuses unités ennemies, notamment dans les combats aériens lors desquels ils se distinguèrent en abbattant 113 appareils ennemis en collaboration avec la Flugzeug Abwehr Kanone. Ces pilotes là ont été les gardiens de nos traditions aériennes, respectueux de nos tactiques d'engagement,, et écrivent une nouvelle fois un chapitre glorieux de la F/JG300.

La Wehrmacht a été efficacement protégée, du moins suffisement, pour qu'elle détruise près de 186 unités ennemies en collaboration avec la Luftwaffe. Notons les plus importants faits : 70 Shermanns, 45 artilleries de 85mm, 20 Spitfires, 33 Typhoon, 20 P51 et 21 P38L5. Bien que la propagande ennemie s'efforce de diminuer l'impact de ces destructions, elles sont rééelles ! Soyons tout à fait honnêtes, et reconnaissons à notre adversaire la perte de 13 PzVA, 18 Stug IV, 10 PzIVJ et 10 PzVIE, 43 Bf109 de tous ordre, une trentaine de Fw190 de tous ordres, et surtout, de 6 Me262.

Le RLM estime entre 60 et 70% de RTB des pilotes bleus le long des 12 missions : cela mérite d'être dit, car l'état des RTB depuis quelques mois laissait à désirer : il y a donc eut un progrès net ! "

Puis, s'avançant un peu plus vers l'audiance, sous le regard des correspondants de guerre présents pour l'occasion, s'adressant aux pilotes :

 

Männer ! Le temps du souvenir débutait dès la fin des combats. Nous revivrons peut-être dans nos mémoires ces heures de force et de détresse, et lorsque vous regarderez ces rubans qui vous sont décernés, rappelez-vous de vos camarades avec qui, malgré l'adversité et les frères d'armes tombés, vous avez bâti cette triomphante victoire.

À l'appel de votre nom, avancez d'un pas et veuillez recevoir de la part de l'état-major dont je suis aujourd'hui le porte-parole, ce ruban de la campagne Wacht am Rhein :

   
   
   
Ruban avec palmes (O.T.)
   
   
Hauptmann Edwald
   
   
   
Ruban échelon simple
Ruban échelon de fer
Ruban échelon de bronze
Ruban échelon d'argent
Ruban échelon d'or
Oberfeldwebel Blutch
Unteroffizier Weber
Obergefreiter Polia
Hauptmann Egon
Leutnant Manfred
Feldwebel Tabo
Feldwebel Olaf
Obergefreiter Bornos
Obergefreiter Jaffar
Oberleutnant Wolf
Obergefreiter Friedrich
Oberst Hammel
Stabsfelfwebel Jo
Fahnenjunker Daimler
Unterfeldwebel Naxos
Obergefreiter Vylsain
Oberst Touch
Major Tempest
Unterfeldwebel Ice
         

 

Bravo et merci à tous,

Major Tempest

 

Debriefing accessible ici.



Le 15 juin 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon


Driiing ... driiing !
_Hallo Bonjour, Bureau de l'Hauptfeldwebel Tabo, Gefreiter Tapalamachinen.
_Bonjour ici l'Hauptmann Egon, passez moi le Spieß s'il vous plaît.
_Sofort Herr Hauptmann !
_...
_
Hallo, Feldwebel Tabo au téléphone.
_Hé bien mon vieux, que ce passe-t-il, je n'ai toujours pas le retour des résultats du mois de mai validés par le RLM ?
_Heu... Herr Hauptmann, on a eu un soucis...,le message est prêt, mais je n'ai pas pu l'envoyer à Berlin, ma machine, pour transmettre les messages chiffrés, est cassée
.
_...Bon, il va falloir s'en procurer une autre auprès des services de renseignements. Tabo c'est vous qui allez vous en charger. Prenez un transport dès aujourd'hui pour Berlin et ramenez nous cette machine !




L'Unteroffizier Ice, pour son ancienneté, sa participation et son investissement comme instructeur, est promu Unterfeldwebel. Félicitations !

 

 

L'Hauptmann Edwald et l'Unterfeldwebel Naxos sont cités à l'ordre de l'escadre et méritent d'être montrés en exemple:

Citation à l'ordre de l'escadre comportant l'attribution de la Croix du Mérite de guerre:
Lors de la contre-offensive des Ardennes le .. mai 2010, l'Hauptmann Edwald et l'Unterfeldwebel Naxos engagèrent un combat mémorable qui opposa leur paire de Focke Wulf 190-D9 aux forces alliées, au cours duquel ils abbattirent ou participèrent par leur coordination avec la JG7 à la destruction de 7 appareils chasseurs ennemis: 3 P38, 2 P51 et 2 P47.

L'Hauptmann Edwald est décoré de la Croix du Mérite de Guerre de 1ère classe pour sa 2è citation:

 

L'Unterfelwebel Naxos est décoré de la Croix du Mérite de Guerre de 2ème classe pour sa 1ère citation:

 

L'Oberst Hammelman, est décoré de l'agrafe de combat en or, pour 100 mission opérationnelles, ce qui vient jalonner une longue carrière de chasseur, féliciations !

 

 

L'Unterfeldwebel Naxos est décoré de l'insigne des blessés en fer.

 

 

Le Feldwebel Olaf, pour son investissement dans la création régulière de missions, est cité à l'ordre de l'escadre. Nous encourageons ce pilote à poursuivre dans cette voie. Bravo !

 

 

Le Flieger Falke rejoint nos rangs et les bancs de la Fliegerschule. Bienvenue !

-

 

Félicitations à tous !

Hptm Egon, Adjutant F/JG300

 

Le 15 mai 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon

A la lisière d'une forêt, 2 pilotes s'équipent et grimpent dans leur cockpit respectif, mettent en route et taxient vers la piste enneigée, dans les Ardennes Belges. Les 2 Messerschmitts 109 décollent en patrouille, virant à gauche, ils prennent la direction du front afin d'y effectuer une patrouille de reconnaissance armée. Le temps n'est pas vraiment au beau fixe malgré quelques éclaircies. Une épaisse couche nuageuse obligera les avions à voler au maximum à 2000m, s'ils veulent apercevoir quelque chose.
Un homme, debout derrière une fenêtre légèrement embuée et dont les rebord sont recouvert de neige fraîche, observait la scène. Les avions disparus, il se retourna vers un deuxième homme assis derrière un bureau, où une pile de dossiers s'entassaient, une casquette d'officier défraîchie posée dessus.

L'homme assis demanda à celui se tenant debout:
_"Qui l'Operation Offizier Edwald envoit-il ?"
_"Le Ltn Manfred et le Fhjk Daimler."
_"Gut !"

On frappa assez faiblement à la porte. L'homme assit derrière le bureau tonna:
_"Entrez !"

2 hommes entrèrent, se mirent au garde-à-vous face au bureau et saluèrent :
_ "Obergefreiter Pilot Polia und Jaffar, zum ihre Befehle Herr Hauptmann !"

L'homme debout scruta des pieds à la tête les uniformes impecables des 2 jeunes qui venaient de se présenter dans le bureau, puis en les fixant du regard, tenta de jauger la personnalité de chacun.
L'homme assis, se leva et contourna le bureau pour s'assoir sur le rebord, annonçant:
_"Je suis l'Hauptmann Egon, l'Adjutant du Geschwader et voici le Spieß, le Feldwebel Tabo. Vous savez ce qu'est un Spieß n'est ce pas ?"

Les 2 jeunes pilotes se regardèrent du coin de l'oeil comme s'ils se remémoraient les sanctions que le Spieß de l'école de pilotage leur avait donné, et répondirent de concert:
_"Jawohl Herr Hauptmann"
_"Gut ! Le Feldwebel Tabo va vous montrer vos quartiers, la base et tout ce que vous aurez besoin de connaître. Rompez !"


Les 2 jeunes sous-officiers saluèrent et sortirent. Le Fw. Tabo allait leur emboiter le pas lorsque l'Hptm. Egon lui demanda :
_"Au fait Tabo, quelles sont les dernières dépêches ?"


Le Spieß sortit son carnet de sa vareuse et en sortit une feuille pliée et télégraphiée:
_"Tenez"
_"Merci"


Tandis que Tabo sortait, l'Adjutant pris connaissance de la missive...

 

Le Stabsfeldwebel Jo est décoré de la Croix Allemande en or pour ses résultats au combat. Ce qui confirme la valeur de ce pilote, au franc parlé et apprécié de tous, et vient récompenser son investissement dans les opérations de l'escadre. L'escadre adresse de vives félicitations !


un oeuf sur le plat de plus !

 

L'Obergefreiter Friedrich récemement arrivé dans le groupe est décoré de la Croix de Fer de 2ème classe après seulement 8 missions. Gageons que nous sommes en présence d'un futur excellent pilote, poursuivez dans cette voie !


he naxos, tu crois que dans la kriegsmarine ils ont les memes ?

 

Les Gefreiter Jaffar et Polia sont brevetés et reçoivent leurs ailes de pilote. Ils sont promus au grade d'Obergefreiter. Félicitations messsieurs!

 

Le Flieger Rayme termine la A-Schule et est promu Gefreiter. Bravo !

 

 


l'oberst hammelman remet les decorations et brevets.
Photo oltn Wolf.

Félicitations à tous !

Hptm. Egon Adjutant F/JG300.

 

 

Le 14 avril 2010
Promotions et décorations
par HptFw Tabo


Point d'appui de Plantlünne,
Februar 1945 – 07 Uhr 32
Météo : 4°, ciel dégagé, pas de nuages

Cette fois-ci, ça y est : la tant attendue grande offensive aérienne a enfin commencé. Les pilotes sont remontés comme des pendules... suisses, bien sûr ! Les raids sur les Ardennes se succèdent et le rythme soutenu des sorties épuise les équipages. Déjà 6 ans de conflit pour les plus anciens !



Dans ce petit matin blême, alors que les mécanos travaillent d'arrache -pied à assurer un taux de disponibilité optimale pour le parc de machines, le Junkers 52 en provenance de Berlin apporte les pièces détachées tant attendues et le courrier qui remonte le moral.
Parmi les messages reçus, une missive de l'Etat-major :

 

 

 

 

 
  Oberkommando Virtuel der Luftwaffe  
  Chef f. Ausz. U. Diszipl. (V)
Berlin, den 1. April 2010
 
  Az. 29 Nr 1209 4 3  
 

 

 

 
 

Au soin du Stab F/JG300

 

 
 

L'OKL virtuel a statué sur les cas suivant:

 

Pour leur excellents résultats au combat, La Croix de Fer de 2ème classe est attribué aux pilotes suivants:
Unteroffizier Webert
Obergefreiter Vylsain

 

Pour avoir terminé l'Ecole de bombardement en palier, le brevet de Bomberpilot est attribué à:
Unteroffizier Webert


Demande spéciale:
Compte tenu des combats qui se rapprochent progressivement du Vaterland, le Fahnenjunker Tabo annonce vouloir renoncer à passer 6 mois à l'école d'officier à Berlin-Gatow et préfère rester combattre aux côtés de ses Kamaraden dans ces moments délicats.

L'OKL accède à sa requête. Tabo retrouve ainsi le grade de Feldwebel, qui fut le sien avant son intégration comme Offizieranwarter.

 

Félicitations aux pilotes concernés.

 

 

 
 

.

I. A.
 
 
Oberst Hans Joachim Hermann
 
  B 5221 1l 44. L29 61 701  

 

Félicitations à tou

P. E. Hauptfeldwebel Tabo

s !

 

Le 12 mars 2010
Promotions et décorations
par HptFw Tabo


9. Februar 1945 – 11 Uhr 43
Point d’appui de Plantlünne,
Météo : -2°, nuageux mais sec, plafond 800 mètres


En ce mois de février 1945, le moral des hommes est à l’image du ciel qui est plutôt bas de plafond et brumeux. En effet, malgré les messages guerriers en provenance de l’OKL, la grande offensive tarde à venir. Depuis la terrible opération « Bodenplatte », plus rien de significatif n’a pu être mis sur pied. A part quelques interceptions de chasseurs alliés en maraude ainsi que quelques missions de Freie Jagd, pas de sortie de grande envergure, le calme plat.

Ce matin, un Schwarm » de Bf 109 a décollé un peu plus tôt pour être engagé du côté de Bastogne. Pendant ce temps, les « hommes en noir » travaillent d’arrache-pied pour maintenir en état de vol un maximum de machines. Le manque de pièces détachées et de fournitures de toutes sortes ne leur facilitent pas la tâche, sans parler de la neige et du froid de canard de ce début d’année 1945.
- Non mais bosser avec des moufles ! Faut vraiment être motivé !
maugrée le Chef Mécano Lindemann, la cigarette visée à la bouche.

Tout-à-coup, ils laissent leurs outils et lèvent leur regard : les avions sont de retour. On les cherche dans le circuit : une seule machine fumante en approche !

Le 109 blessé se pose, tout le personnel se presse pour écouter le récit du pilote. L’unteroffizier Ice ouvre son cockpit, un peu blême. Son mécano saute sur l’aile et lui demande
- Qu’est-ce qui s’est passé mein Herr ?
- On s’est fait sauter dessus par des Spitfeuer. On a rien pu faire.
Le Pilote est effondré.
- En plus, dans le feu de l’action, j’ai touché l’avion du Stabfeldwebel Jo… et il n’est pas revenu !

Le regard embué, on l’aide à sortir de son avion alors que le seul membre du Stab présent ce jour là, l’Oberst Hammelmann, arrive d’un bon pas. La perte de nos Kameraden est un coup rude pour l’Escadre. Qui plus est, le Stabfeldwebel Jo venait de nous rejoindre après une courte absence. En effet, son avion avait reçu une rafale frontale de Spitfire qui avait étoilé son pare-brise, le blessant légèrement aux yeux. De retour de convalescence, il avait tout de suite demandé à réintégrer son unité.

Tout à coup, une Kubelwagen déboule d’on ne sait où sur l’aérodrome. Et qui en descend : Jo ! Son parachute sous un bras, le casque en cuir dans l’autre main, le voilà qui se dirige vers le groupe d’hommes en dodelinant de la tête et en grognant :
- Si c’est pas malheureux, un Messerschmitt tout neuf…

Toute l’équipe présente se précipite sur ce revenant, lui réservant un accueil chaleureux.

Conscient que la situation n’est pas à la franche rigolade pour tout le monde, je prends à part l’Unteroffizier Ice avec l’Oberst Hammelmann.
- Rassurez-vous, je ne vais pas revenir sur l’incident d’aujourd’hui. Néanmoins, sachez que les nouvelles vont vite à votre sujet mein Herr. En effet, mon estafette vient de m’apporter un pli vous concernant.
Le pauvre homme n’est pas vraiment à la fête et regarde ses chaussures de vol.

- En fait, c’est plutôt de bonnes nouvelles que j’ai pour vous : pour souligner vos excellents états de service ainsi que votre niveau d’engagement élevé, l’Etat-Major a décidé de vous attribuer la Croix de Fer de 1ère classe ainsi que l’agrafe de combat en bronze qui récompense vos nombreuses sorties opérationnelles.

C'est maman qui va etre contente !



L’Unteroffizier relève la tête et esquisse un semblant de sourire.
- Félicitations junge Kerl !
Et l’Oberst Hammelmann de lui balancer une claque énergique dans le dos qui manque de faire chuter notre ami tout émotionné.
Jo s’approcha alors de Ice et, s’adressant à lui avec le sourire jusqu’aux oreilles, lui dit :
- Bon alors, pour tes lunettes on fait comment ? Tu veux que je te prête les miennes ?
Il lui sert la main et le félicite à son tour.

Dans le même message reçu de l’OKL, nous apprenions que l’Oberfeldwebel Blutch recevait son agrafe de combat en argent.



Les gars, je ne vous avais rien demandé ! C'est encore Daimler qui a voulu faire le malin !



et l’Obergefreiter Bornos se voyait attribuer sa première Croix de Fer de 2ème classe.


Ah crevin'dieu d'bon dieu de nom de nom, ça alors !

L’affaire fut ainsi close. Je me débrouillais pour dégoter rapidement quelques caisses de bières et l’apéro de ce 9 février 1945 s’ouvrit sur ce mot historique de notre Oberst :

Se saisissant d’une canette, il déclara alors :
- Messieurs, n’oubliez jamais que : ce bras couvert de gloire n’a jamais fléchi… que pour boire !

PROSIT !

Oberfeldwebel « Spiess » Tabo


Le 7 mars 2010
Attribution de brevet
par Mjr Tempest



Chers camarades,

dans la lignée des plus sérieux et admirés pilotes de bombardiers, à force de rigueur et de perséverance, l'Unteroffizier Weber est breveté Kampfflieger.

L'escadre entière attend avec impatience ses exploits !

Unteroffizier Weber, veuillez recevoir vos ailes de Bombardier:

Encore bravo, et surtout, poursuivez !

Le 9 février 2010
Promotions et décorations
par Hptm Egon et Fhj Tabo


Base de Rheine,
08h30, Une communication radio se fait entendre sur la radio du dispersal:

- « De Adler eins à Rheine Grundkontrolle, demande permission d’atterrir »
- « Grundkontrolle Rheine à Adler Eins, permission accordée »

Le Focke-Wulf 190 solitaire se présente en final et se pose comme une fleur sur la piste de notre Escadre. Les mécanos regardent la machine rouler vers les parking et maugréent :
- « Dis donc, ça fait tôt pour un premier vol ! Plutôt motivé le gars ! »
Les hommes en noir se dirigent au pied de l’avion qui s’immobilise. La verrière glisse et laisse apparaître le visage du pilote :



C’est le Kommodore Walther Dahl !
- « Guten Tag meine Herren ! Wie geht’s ? »
Un peu surpris, les mécaniciens se fixent, en équilibre sur l’aile.
- « Je viens voir personnellement trois de vos hommes : voici la liste. J’imagine qu’ils sont en état de me recevoir ? »
- « Jawohl, Herr Oberst ! »
Et le mécano de sauter de l’ail et de courir vers la baraque qui sert de Stamm aux pilotes.

Il ouvre précipitamment la porte et annonce, essoufflé :
- «Le… le Kommodore est là, et il veut vous voir… ! »
Le pauvre gars n’a pas le temps de finir sa phrase que le Kommodore Dahl fait son entrée.
- « Bonjour Messieurs ! »
- « Bonjour Herr Oberst »
Tous les pilotes se sont levés d’un bon et fixé devant leur patron.
- « Je viens personnellement décorer les hommes suivants :


Oberst Touch, affecté en premier lieu à la 14./JG5 où vous faites vos premières armes, vous êtes ensuite transféré à la III/JG26 où vos talents de JaBo sont remarqués ainsi que vos talents d'organisateur. Vous gravissez les échelons et êtes nommé au Stab du Gruppe. Vous et le Major Tempest, persuadez ensuite l'Oberkommando de la Luftwaffe de mettre sur pied une nouvelle escadrille sur de nouvelles bases. Rassembleur vous réunissez une quinzaine de pilotes autour de vous et la nouvelle escadrille,nommée F/JG300, voit le jour le 16 septembre 2007 et c'est tout naturellement que vous êtes nommé à la tête de celle-ci avec l'Oberst Hammel et le Major Tempest. Pilote aux 51 victoires au sol et 36 victoires aériennes, vous avez combattu en France en 1940, Norvège 1940, Russie 1941, Stalingrad 1942, Norvège 1943, Tunisie 1943, Normandie 1944, Italy 1944, Provence 1944, Norvège 1945. Brilliant officier et pilote hors-pair, recevez maintenant la Croix de chevalier avec feuilles de chênes de la Croix de Fer. Je vous remets aussi l'agrafe de combat en or qui vient récompenser 100 missions opérationnelles.

 

 

Oberleutnant Wolf, je vous remets la Croix de chevalier de la Croix de Fer, pour vos brillants résultats, 40 victoires au sol et 21 victoires aériennes. Vous êtes le 6ème pilote de l'escadre à recevoir cette distinction, félicitations ! Vous recevez aussi l'agrafe de combat en argent pour vos 60 missions opérationnelles.

 

 

Oberfeldwebel Blutch, On m’a dit que vous aviez hésité entre un engagement entre la Kriegsmarine et la Luftwaffe. Bon choix. Chasseur hors-pair, recevez la Croix Allemande en or pour 42 victoires aériennes et 10 victoires au sol.

 

 

2 élèves reçoivent ce mois, leur brevet de pilote, les Gefreiter Bornos et Vylsain et sont promus au grade d'Obergefreiter, félicitations !

 

 

Nous accueillons le Flieger Polia qui entre à la Fliegerschule:

-

 


- « Bien, je suppose que les traditions ont toujours court dans mon escadre ? J’ai pris mes dispositions et votre unité est au repos pour la journée. Gratuliere meine Herren »
On sort la caisse de Cognac de derrière le bar et la tension baissa comme par magie…

 

Fhj. Tabo et Hptm. Egon


Le 30 janvier 2010
L'escadre vous félicite !
par Hptm Egon



L'année 2010 commence et nous tenons à remercier tous les pilotes pour la bonne ambiance qui règne dans notre escadrille. Nous tenons aussi à remercier les pilotes qui se sont particulièrement investis pour l'escadrille durant cette année 2009. Ouvrez le ban !

Le Leutnant Manfred, pour son investissement en tant qu'instructeur au sein de la Fliegerschule tout au long de l'année 2009 est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

Le Stabsfeldwebel Jo, pour son investissement en tant qu'instructeur au sein de la Fliegerschule tout au long de l'année 2009 est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

Le Fahnenjunker Daimler, pour son investissement en tant qu'instructeur au sein de la Fliegerschule tout au long de l'année 2009 est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

Le Feldwebel Olaf, pour son investissement en tant qu'Officier Tactique, durant 6 mois, lors de la campagne Sicile 1943 - Cent Dime for a Chestnutest cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

L'Unterfeldwebel Naxos, pour son investissement en tant qu'Officier Tactique, durant 6 mois, lors de la campagne Sicile 1943 - Cent Dime for a Chestnut et la création de missions d'entraînements est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

L'Obergefreiter Dale, pour son investissement dans la mise en oeuvre d'une base donnée FTP au cours de l'année 2009 est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

Le Fahnenjunker Tabo, pour son investissement en tant qu'Hauptfeldwebel responsable du système de points et de l'amélioration constante de celui-ci ainsi que pour de son implication dans la rédaction de News pour le site internet et sa prise de contact avec J.Y. Lorant lors de l'année 2009, est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

L'Hauptmann Edwald, pour son investissement en tant qu'Officier Tactique durant 4 mois lors de la campagne Stalingrad 1942 et pour son implication comme conseiller stratégique sur plusieurs campagnes. Pour la création de documents d'instruction pour la Fliegerschule ainsi que pour ses créations graphiques pour le site internet est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

Le Major Tempest, pour son investissement dans la création et le développement du site internet et la rédaction des News. Pour son rôle actif dans le recrutement et en tant qu'instructeur de la Fliegerschule. Pour son investissement en tant qu'Officier Tactique durant 4mois lors de la campagne Stalingrad 1942, et la création de missions lors de l'année 2009 est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

L'Hauptmann Egon, pour son investissement dans la gestion et le développement graphique du site et la rédaction des News. Pour son rôle prépondérant dans le développement de la Fliegerschule et en tant qu'instructeur. Pour son rôle d'Adjutant responsable de la gestion des carrières des pilotes ainsi que pour son implication dans la diplomatie et les communications de l'escadrille lors de l'année 2009, est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

L'Oberst Hammelman, pour son investissement en tant qu'Officier de Campagne lors de la campagne Sicile 1943 - Cent Dime for a Chestnut. Pour sa gestion logistique du site interne et pour son implication dans la diplomatie et les communications de l'escadrille lors de l'année 2009, est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.

L'Oberst Touch, pour son investissement dans la gestion et l'amélioration graphique du Forum. Pour la création de documents d'instruction pour la Fliegerschule ainsi que pour son rôle prépondérant dans la diplomatie et les communications de l'escadrille lors de l'année 2009,est cité à l'ordre de l'escadrille et décoré de la Médaille de Service en fer.


Merci et félicitations à tous !

Le Stab.

Le 9 janvier 2010
Victoire en Sicile - Promotions et décorations
par Hptm Egon

 

Sicile base de Gela,

Les mécanons s’affairent à remettre en état les machines pour leur long vol de retour vers le "Vaterland". La bataille sur l’ile de Sicile s’est finalement terminée par une brillante victoire surprise des Forces de l’Axe. Alors que les pilotes terminent de faire leurs bagages, les membres du Stab dégustent un Cognac à l’ombre de la tente qui leur sert de PC. Soudain, le Spiess entre comme une furie, un pli à la main.

_« Herr Hauptmann, nous venons de recevoir ce courrier urgent de Berlin ! Et y’a le tampon de l’OKL dessus ! »
_« Du calme mon ami, se sont certainement de bonnes nouvelles » modère l’Adjutant Egon qui ouvre lentement l’enveloppe brune :
_ « Et ben, y'en a qui vont quitter l'ile plus chargé qu'à l'aller » ricane l’Oberst Touch en regardant par-dessus l’épaule de son collègue.

Enfoncé dans son siège en cuir, l’Oberst Hammel grogne : «Gottverdammt ! vous pouvez-pas laisser cette paperasse là où elle est ! Y’a le Cognac qui se réchauffe ».

 

L'Hauptmann Egon reçoit la Croix de Chevalier de la Croix de Fer avec feuilles de chêne. Pilote à la centaine d'Abschusse en 145 sorties au sein de la F/JG300, administrateur et créateur hors pair, l'Hauptmann Egon avait rejoint l'escadrille lors de sa création le 16 septembre 2007. Dans son parcours, Egon a été préalablement affecté à la III/JG26. Depuis son engagement dans la Luftwaffe, l'Hauptmann Egon participe à plusieurs grandes batailles : France en 1940, Norvège 1940, Russie 1941, Stalingrad 1942, Norvège 1943, Tunisie 1943, Normandie 1944, Italy 1944, Provence 1944, Norvège 1945. Accompagné d'autres pilotes, il améliore grandement la Fliegerschule. Cette distinction couronne son brillant parcours d'officier et ses remarquables qualités de pilote de combat. Cette récompense est le reflet de l'efficacité de son travail en vol et de la régularité exempaire de ses résultats dans le temps.

 

L'Unterfeldwebel Naxos reçoit la Croix de Fer 1ère classe pour ses combats au-dessus de la Sicile.

 

Le Major Tempest reçoit citation à l'ordre de l'escadre comportant l'attribution de la Croix du Mérite de guerre:

Pour avoir fortement contribué à la victoire lors de la campagne de Sicile, Cent Dime for a Chestnut 1943 en 2009. De part ses actions d'attaque au sol aux commandes de son Me410, a faire preuve de dextérité en détruisant: 27 chars, 4 véhicules et 2 DCA. Ses actions lui valent l'attribution de la Croix du Mérite 1ère classe.


L' Oberst Touch reçoit citation à l'ordre de l'escadre comportant l'attribution de la Croix du Mérite de guerre:

Pour les missions de reconnaissance qu'il a mené à bord de son Me410 lors de la campagne de Sicile, Cent Dime for a Chestnut 1943 en 2009, et au cours desquelles il a réussit à repérer les flottes de débarquement Américaines et Britanniques. Ses actions de renseignement ont permis à l'état-major de monter les missions qui permirent de couler ces 2 flottes ennemies.
De plus ses qualités de chef lui ont permis d'organiser et d’asseoir la cohésion de l’escadre lors des missions de combat, tant par ses briefings que par son rôle de chef de dispositif. Ses actions lui valent l’attribution de la Croix du Mérite de 2è classe.

Le Fahnenjunker Tabo reçoit citation à l'ordre de l'escadre comportant l'attribution de la Croix du Mérite de guerre:

Pour avoir fortement endommagé le porte-avions Américain lors de la campagne de Sicile, Cent Dime for a Chestnut 1943 en 2009, aux commandes de son Fw190-A5, lors de la première vague d’assaut contre la flotte Américaine, et qui permis à la 2ème vague d’assaut de le couler. Son action lui vaut la Croix du Mérite de 2ème classe.

L'Unteroffizier Marc, l'Obergefreiter Bart et le Gefreiter Bornos reçoivent la bande de bras de l'escadre pour marquer leur 1ère année passée au sein de la F/JG300:

 

 

 

 

L'Oberst Hammel annonca ensuite la liste des pilotes ayant participé régulièrement à la campagne de Sicile 2009, Cent Dime for a Chestnut 1943:



Le Feldwebel Olaf et l'Unterfeldwebel Naxos reçoivent le ruban de la campagne de Sicile avec palmes d'or pour leur rôle d'Officier Tactique lors de cette campagne victorieuse !

   
   
   
Ruban avec palmes (O.T.)
   
   
Feldwebel Olaf
Unterfeldwebel Naxos
   
   
   
Ruban échelon simple
Ruban échelon de fer
Ruban échelon de bronze
Ruban échelon d'argent
Ruban échelon d'or
Fahnenjunker Ratus
Oberfeldwebel Blutch
Unteroffizier Ice
Obergefreiter Bornos
Oberleutnant Wolf
Fahnenjunker Tabo
Feldwebel Hornisse
Unteroffizier Marc
Unteroffizier Weber
Oberst Hammel
Major Tempest
Hauptmann Egon
Hauptmann Edwald
Leutnant Manfred
Stabsfeldwebel jo
Oberst Touch
Fahnenjunker Daimler
         

 

 

Le Feldwebel Daimler ayant acquis une très bonne expérience en tant qu'ailier et démontrer des capacités de leader, tout en partageant ses connaissances et son expérience en tant qu'instructeur au sein de la Fliegerschule. Je vous informe que le Stab incorpore le Feldwebel Daimler dans la filière des Aspirants, en tant que Fahnenjunker.

 

Une fois la bonne nouvelle passée aux pilotes concernées, le Cognac resta frais et la nuit fut chaude !

Bravo à tous et bon retour au Vaterland !

 


Le 1er janvier 2010
Bonné année 2010 !
par Obst Touch



A tous, je souhaite une belle et heureuse année 2010 ; que santé bonheur et joie vous accompagnent tout au long de cette nouvelle année !

Et longue vie à notre chère F/JG300 !

 
 

Archives
   
 

   
   
   
   

Ce site ne fait l'apologie d'aucune ideologie. NOTAM : Notice to Air Men : Le Gefuv est un groupe dont les membres sont des pilotes virtuels qui jouent À un jeu de simulation d'avions de la Seconde Guerre Mondiale. Ce groupe est apolitique et ne cautionne aucune ideologie particuliere. Nous aimons nous amuser dans le cadre fourni par cette periode, mais aucun d'entre nous, sous peine d'etre exclu, n'y joue par conviction politique ou ideologique, mais juste par passion pour l'aviation et pour l'Histoire.